USA
Les dix derniers jours de juillet ont été fertiles en contre-attaques trumpiennes, suivies de rebondissements intéressants.
Faisons le bilan du coup d’État rampant qui le tenaille…

La France a déjà indiqué (Reuters) que la proposition de loi du Congrès américain apparaissait « illicite au regard du droit international« .
Le « parti universel » dirige aujourd’hui la ploutocratie américaine…

Le président a décidé d’employer un « tueur »…
Le président, blessé, tente de délégitimer le procureur spécial Mueller avant de reprendre les commandes… en jouant de sa seule arme disponible : le peuple.

Le site pro-russe Strategic Culture Foundation estimait, le 17 juillet, que les États-Unis préparent une intervention contre l’Iran.

La présence de Trump au défilé du 14 Juillet n’a pas fait l’objet d’une grande couverture médiatique.

Il semble que le congrès républicain, qui a saboté le programme de Trump en feignant de le soutenir, s’organise désormais pour une présidence Pence…

Affirmer que le drapeau sudiste est une bannière raciste ou que le général Lee est un nazi avant l’heure relève d’un anachronisme indigne.
À l’occasion de la fête nationale des États-Unis, André Bercoff revient sur les premiers mois de Donald Trump à la Maison-Blanche.
Il y a 241 ans, inspiré par la philosophie des Lumières, Thomas Jefferson proclama, à Philadelphie, l’indépendance des treize colonies britanniques.
Et les journalistes de pleurer pour leur sécurité, dans l’angoisse de voir un déséquilibré les attaquer physiquement.
Fort de ses cent millions de suiveurs sur les médias sociaux, dont une moitié de supporters inconditionnels, le twitteur-en-chef brouille et désacralise.
Trump semble bénéficier d’un meilleur alignement astral : les républicains viennent de gagner cinq élections partielles à la suite.

On en est maintenant à la phase « finale » dans la guerre entre Trump et les néocons, le « deep state » et le procureur spécial Mueller.

Les républicains se révoltent-ils en masse ? Niet…
Trump fait, depuis novembre, l’objet d’une campagne de déshumanisation. Le passage à l’acte était à attendre.
Trump n’a pas proclamé juin comme mois de fierté LGBT
Pour comprendre la décision américaine, il faut lire les déclarations officielles, et surtout éviter les commentaires des médias.
Comme prévu, l’équipe de communication de Trump a été mauvaise.

Le complexe militaro-industriel aura organisé le plus performant des voyages présidentiels.

Donald Trump a succombé aux sirènes des faucons néo-conservateurs, renouant avec la tradition diplomatique américaine pré-Obama.
Si l’impeachment est en réalité impossible (ou fastidieux à organiser), une démission forcée de Trump est possible.

C’est ce que pense de plus en plus de monde.
Trump sera le premier président américain à rencontrer d’une seule traite les capitales des trois religions monothéistes…
Quand on parle de l’instinct de tueur en politique…
Continuons ce suicide collectif et ensuite pleurons !
Les dix derniers jours de juillet ont été fertiles en contre-attaques trumpiennes, suivies de rebondissements intéressants.
Faisons le bilan du coup d’État rampant qui le tenaille…

La France a déjà indiqué (Reuters) que la proposition de loi du Congrès américain apparaissait « illicite au regard du droit international« .
Le « parti universel » dirige aujourd’hui la ploutocratie américaine…

Le président a décidé d’employer un « tueur »…
Le président, blessé, tente de délégitimer le procureur spécial Mueller avant de reprendre les commandes… en jouant de sa seule arme disponible : le peuple.

Le site pro-russe Strategic Culture Foundation estimait, le 17 juillet, que les États-Unis préparent une intervention contre l’Iran.

La présence de Trump au défilé du 14 Juillet n’a pas fait l’objet d’une grande couverture médiatique.

Il semble que le congrès républicain, qui a saboté le programme de Trump en feignant de le soutenir, s’organise désormais pour une présidence Pence…

Affirmer que le drapeau sudiste est une bannière raciste ou que le général Lee est un nazi avant l’heure relève d’un anachronisme indigne.
À l’occasion de la fête nationale des États-Unis, André Bercoff revient sur les premiers mois de Donald Trump à la Maison-Blanche.
Il y a 241 ans, inspiré par la philosophie des Lumières, Thomas Jefferson proclama, à Philadelphie, l’indépendance des treize colonies britanniques.
Et les journalistes de pleurer pour leur sécurité, dans l’angoisse de voir un déséquilibré les attaquer physiquement.
Fort de ses cent millions de suiveurs sur les médias sociaux, dont une moitié de supporters inconditionnels, le twitteur-en-chef brouille et désacralise.
Trump semble bénéficier d’un meilleur alignement astral : les républicains viennent de gagner cinq élections partielles à la suite.

On en est maintenant à la phase « finale » dans la guerre entre Trump et les néocons, le « deep state » et le procureur spécial Mueller.

Les républicains se révoltent-ils en masse ? Niet…
Trump fait, depuis novembre, l’objet d’une campagne de déshumanisation. Le passage à l’acte était à attendre.
Trump n’a pas proclamé juin comme mois de fierté LGBT
Pour comprendre la décision américaine, il faut lire les déclarations officielles, et surtout éviter les commentaires des médias.
Comme prévu, l’équipe de communication de Trump a été mauvaise.

Le complexe militaro-industriel aura organisé le plus performant des voyages présidentiels.

Donald Trump a succombé aux sirènes des faucons néo-conservateurs, renouant avec la tradition diplomatique américaine pré-Obama.
Si l’impeachment est en réalité impossible (ou fastidieux à organiser), une démission forcée de Trump est possible.

C’est ce que pense de plus en plus de monde.
Trump sera le premier président américain à rencontrer d’une seule traite les capitales des trois religions monothéistes…
Quand on parle de l’instinct de tueur en politique…
Continuons ce suicide collectif et ensuite pleurons !
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