Valneva
Thomas Lingelbach a qualifié de « regrettable » cette décision de Bruxelles, « et ce, d’autant que nous continuons à recevoir des messages d’Européens qui recherchent une solution vaccinale plus traditionnelle ».
La biotech franco-autrichienne, établie près de Nantes, a déjà décroché un contrat d’envergure avec l’Union européenne : 27 millions de doses sont commandées pour 2022…
Si on conclut rapidement, on pourra avoir un vaccin disponible en Europe sur le premier semestre de l’année prochaine », affirme le directeur du laboratoire.
Valneva avait un accord avec le Royaume-Uni et travaillait sur un vaccin selon la technologie dite à virus désactivé, technologie plus classique que l’ARN, et qui était déjà utilisée contre des maladies comme la grippe.
Thomas Lingelbach a qualifié de « regrettable » cette décision de Bruxelles, « et ce, d’autant que nous continuons à recevoir des messages d’Européens qui recherchent une solution vaccinale plus traditionnelle ».
La biotech franco-autrichienne, établie près de Nantes, a déjà décroché un contrat d’envergure avec l’Union européenne : 27 millions de doses sont commandées pour 2022…
Si on conclut rapidement, on pourra avoir un vaccin disponible en Europe sur le premier semestre de l’année prochaine », affirme le directeur du laboratoire.
Valneva avait un accord avec le Royaume-Uni et travaillait sur un vaccin selon la technologie dite à virus désactivé, technologie plus classique que l’ARN, et qui était déjà utilisée contre des maladies comme la grippe.
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