Véganisme
Le végétalisme strict peut mener non seulement à des emprises sectaires, mais surtout à des retards de croissance.
Un petit pas pour l’homme mais un grand coin-coin pour les canards du sud-ouest de la France.
Il est difficile de suivre les méandres tortueux de cerveaux ramollis par des années d’épidémie gauchiste.
Sur RTL, le 5 mai, un débat autour du veganisme vire assez vite à la remise en cause de l’alimentation carnée et de ses excès. Sujet pertinent mais très éloigné de l’idéologie vegan.
On peut se demander aussi si le véganisme, dans son essence, n’est pas justement la négation du plaisir gustatif, culturel, pour ramener l’alimentation à sa fonction primaire de nourriture.
Les végans font désormais la loi, au Far-West !
Tant qu’on ne nous aura pas présenté une brave vache qui, de son plein gré, aura renoncé au vert pâturage…
Entre manger un steak et délit de blasphème, apostasie du tofu et lapidation, il vous faudra peut-être un jour choisir et vous repentir.
S’il est, comme ses détracteurs le prétendent, dangereux pour les enfants, il faudra sans doute vingt ans et un grand nombre de petites victimes pour que sa nocivité soit enfin universellement reconnue.
Depuis un demi-siècle, la mode déconstructiviste dynamite consciencieusement des pans entiers du bon sens, sans épargner le domaine de la santé.
Cette idéologie sectaire et intolérante nous vient des États-Unis et ne doit pas être confondue avec ceux qui sont végétariens ou végétaliens par un choix personnel.
Ces fous amoureux de toutes les formes de vie détestent une seule forme de vie, la vie humaine, et surtout l’occidentale, honnie entre toutes.
Les anciens disaient « bête à bouffer du foin »…
Il serait intéressant de savoir quelle proportion des nouveaux défenseurs du bifteck outragé vit à la campagne…
Quel rapport y a-t-il entre les antiracistes, les antispécistes, les antifascistes, les féministes et, plus généralement, les militants du « genre », les écolos ?
Aymeric Caron, ému par le sort d’une crevette dans l’eau bouillante, condamne-t-il celui des moutons égorgés au nom de l’aïd ?
Ouf ! Si c’est pour « inclure » les végétaliens en excluant les viandards fascistes, alors, tout va bien dans le meilleur des mondes…
Ces nouveaux voyous, adeptes de quinoa et de lait de soja, ne sont pas des racailles comme les autres.
Être végan signifie dire non à l’exploitation de animaux. Mais c’est aussi prendre soin de soi.
Le végétalisme strict peut mener non seulement à des emprises sectaires, mais surtout à des retards de croissance.
Un petit pas pour l’homme mais un grand coin-coin pour les canards du sud-ouest de la France.
Il est difficile de suivre les méandres tortueux de cerveaux ramollis par des années d’épidémie gauchiste.
Sur RTL, le 5 mai, un débat autour du veganisme vire assez vite à la remise en cause de l’alimentation carnée et de ses excès. Sujet pertinent mais très éloigné de l’idéologie vegan.
On peut se demander aussi si le véganisme, dans son essence, n’est pas justement la négation du plaisir gustatif, culturel, pour ramener l’alimentation à sa fonction primaire de nourriture.
Les végans font désormais la loi, au Far-West !
Tant qu’on ne nous aura pas présenté une brave vache qui, de son plein gré, aura renoncé au vert pâturage…
Entre manger un steak et délit de blasphème, apostasie du tofu et lapidation, il vous faudra peut-être un jour choisir et vous repentir.
S’il est, comme ses détracteurs le prétendent, dangereux pour les enfants, il faudra sans doute vingt ans et un grand nombre de petites victimes pour que sa nocivité soit enfin universellement reconnue.
Depuis un demi-siècle, la mode déconstructiviste dynamite consciencieusement des pans entiers du bon sens, sans épargner le domaine de la santé.
Cette idéologie sectaire et intolérante nous vient des États-Unis et ne doit pas être confondue avec ceux qui sont végétariens ou végétaliens par un choix personnel.
Ces fous amoureux de toutes les formes de vie détestent une seule forme de vie, la vie humaine, et surtout l’occidentale, honnie entre toutes.
Les anciens disaient « bête à bouffer du foin »…
Il serait intéressant de savoir quelle proportion des nouveaux défenseurs du bifteck outragé vit à la campagne…
Quel rapport y a-t-il entre les antiracistes, les antispécistes, les antifascistes, les féministes et, plus généralement, les militants du « genre », les écolos ?
Aymeric Caron, ému par le sort d’une crevette dans l’eau bouillante, condamne-t-il celui des moutons égorgés au nom de l’aïd ?
Ouf ! Si c’est pour « inclure » les végétaliens en excluant les viandards fascistes, alors, tout va bien dans le meilleur des mondes…
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