Vendredi lecture
L’homme liquide, sans racine ni famille, sans soutien ni barrière, véritable « chair à slogans » mortifères.
Du temps d’Homère, ceux qui avaient le droit d’écrire étaient des génies. Ce n’était peut-être pas plus mal.
Sa liberté sur ces sujets délicats n’est donc pas celle du fou mais celle du savant. Il a le courage d’en user en conscience dans un domaine (un de plus) dans lequel le moindre écart, la moindre erreur, la moindre divergence vous vaut aussitôt l’enfer médiatique.
Avec beaucoup de sens didactique, et même de patience, Alexis Rostand dédiabolise la finance, explique que la pratique des vertus peut la faire avancer dans le bon sens…
Avec Roselyne Bachelot, le désastre culturel prend un tour jubilatoire.
Alors que la France n’en finit plus de se déchristianiser, les moines, eux, continuent – à défaut de faire rêver – au moins d’intriguer.
En plus d’une écriture enlevée, souvent drôle, et d’un certain nombre de péripéties qui se lisent d’une traite, l’auteur soulève des questions philosophiques centrales pour notre civilisation moderne.
Néanmoins, on voit et on comprend à quel point le combat des idées n’est pas « une défaite à nuancer », pour reprendre les termes de l’auteur, mais bel et bien une victoire.
C’est bien plus qu’une bande dessinée qui nous est proposée ici, c’est un outil de réflexion pour le plus grand nombre, outre ses qualités de thriller.
La fin des temps est proche. « Anéantissement biologique », « hécatombe du vivant », « extinction de masse » : pour Sandrine Rousseau, le monde s’apprête à disparaître dans l’indifférence des puissants.
Ce roman, qui connut un immense succès, est une petite merveille. L’intrigue est haletante, parfaitement construite et les pages se tournent de plus en plus vite.
Praron regarde avec un œil vrai les soubresauts de l’époque, ses déviances, ses renoncements, ses faux-semblants, ses destructions et le cortège des misères qui l’accompagne.
L’ouvrage démontre la flagrante différence de traitement médiatique des faits selon qu’ils ont été commis par la droite ou par la gauche.
Lorsque Carlos Tavares prend la tête de l’entreprise, son objectif est d’augmenter les performances et de rivaliser avec les géants de l’automobile, quitte à perdre l’âme de l’enseigne.
Grâce à cet ouvrage, vous ne pourrez plus vous tromper et saurez, dorénavant, que le gilet jaune est de droite mais le rond-point à gauche.
L’auteur explique : « Sans exagérer dans la grandiloquence, il me semble que tout devrait faire entrer ce qui reste de chrétien en France en dissidence intellectuelle vis-à-vis du macronisme… »
« Je ne sais s’il est trop tard, mais il est bien tard. » Terrifiante conclusion de Jean-Frédéric Poisson.
Les individus responsables du collage d’affiches ne sont, à ce jour, pas identifiés. Klaus Kinzler, lui, est toujours interdit d’enseignement, sous le coup d’une suspension hiérarchique pour « propos diffamatoires ».
« Ce pour quoi tu acceptes de mourir, c’est cela seul dont tu peux vivre. »
Les mots de Christophe Guilly frappent juste : « l’impression est étrange »
C’est un petit livre, petit format, moins de cent pages au total, mais c’est un grand Jean-Yves Le Gallou.
Résultat de l’offensive mondiale de Netflix : des cinémas asphyxiés qui perdent peu à peu une partie de leur clientèle
Quel est donc ce pays où les professeurs ont peur de parler à visage découvert ?
Comment résister à ce rouleau compresseur qui sape nos racines ?
Ce monstre de la fable de la libération de la femme commence à s’effriter.
Jusqu’à 68, nous sommes dans un monde construit. Rafraîchissez vos idées sur ce bel héritage !
C’est le wokisme managerial : le salarié vaut moins par ce qu’il fait que par ce qu’il est.
Les Français auront-ils le courage – « le cœur » – de résister ?
L’homme liquide, sans racine ni famille, sans soutien ni barrière, véritable « chair à slogans » mortifères.
Du temps d’Homère, ceux qui avaient le droit d’écrire étaient des génies. Ce n’était peut-être pas plus mal.
Sa liberté sur ces sujets délicats n’est donc pas celle du fou mais celle du savant. Il a le courage d’en user en conscience dans un domaine (un de plus) dans lequel le moindre écart, la moindre erreur, la moindre divergence vous vaut aussitôt l’enfer médiatique.
Avec beaucoup de sens didactique, et même de patience, Alexis Rostand dédiabolise la finance, explique que la pratique des vertus peut la faire avancer dans le bon sens…
Avec Roselyne Bachelot, le désastre culturel prend un tour jubilatoire.
Alors que la France n’en finit plus de se déchristianiser, les moines, eux, continuent – à défaut de faire rêver – au moins d’intriguer.
En plus d’une écriture enlevée, souvent drôle, et d’un certain nombre de péripéties qui se lisent d’une traite, l’auteur soulève des questions philosophiques centrales pour notre civilisation moderne.
Néanmoins, on voit et on comprend à quel point le combat des idées n’est pas « une défaite à nuancer », pour reprendre les termes de l’auteur, mais bel et bien une victoire.
C’est bien plus qu’une bande dessinée qui nous est proposée ici, c’est un outil de réflexion pour le plus grand nombre, outre ses qualités de thriller.
La fin des temps est proche. « Anéantissement biologique », « hécatombe du vivant », « extinction de masse » : pour Sandrine Rousseau, le monde s’apprête à disparaître dans l’indifférence des puissants.
Ce roman, qui connut un immense succès, est une petite merveille. L’intrigue est haletante, parfaitement construite et les pages se tournent de plus en plus vite.
Praron regarde avec un œil vrai les soubresauts de l’époque, ses déviances, ses renoncements, ses faux-semblants, ses destructions et le cortège des misères qui l’accompagne.
L’ouvrage démontre la flagrante différence de traitement médiatique des faits selon qu’ils ont été commis par la droite ou par la gauche.
Lorsque Carlos Tavares prend la tête de l’entreprise, son objectif est d’augmenter les performances et de rivaliser avec les géants de l’automobile, quitte à perdre l’âme de l’enseigne.
Grâce à cet ouvrage, vous ne pourrez plus vous tromper et saurez, dorénavant, que le gilet jaune est de droite mais le rond-point à gauche.
L’auteur explique : « Sans exagérer dans la grandiloquence, il me semble que tout devrait faire entrer ce qui reste de chrétien en France en dissidence intellectuelle vis-à-vis du macronisme… »
« Je ne sais s’il est trop tard, mais il est bien tard. » Terrifiante conclusion de Jean-Frédéric Poisson.
Les individus responsables du collage d’affiches ne sont, à ce jour, pas identifiés. Klaus Kinzler, lui, est toujours interdit d’enseignement, sous le coup d’une suspension hiérarchique pour « propos diffamatoires ».
« Ce pour quoi tu acceptes de mourir, c’est cela seul dont tu peux vivre. »
Les mots de Christophe Guilly frappent juste : « l’impression est étrange »
C’est un petit livre, petit format, moins de cent pages au total, mais c’est un grand Jean-Yves Le Gallou.
Résultat de l’offensive mondiale de Netflix : des cinémas asphyxiés qui perdent peu à peu une partie de leur clientèle
Quel est donc ce pays où les professeurs ont peur de parler à visage découvert ?
Comment résister à ce rouleau compresseur qui sape nos racines ?
Ce monstre de la fable de la libération de la femme commence à s’effriter.
Jusqu’à 68, nous sommes dans un monde construit. Rafraîchissez vos idées sur ce bel héritage !
C’est le wokisme managerial : le salarié vaut moins par ce qu’il fait que par ce qu’il est.
Les Français auront-ils le courage – « le cœur » – de résister ?
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