Viktor Orbán
Et alors que la campagne est encore loin de nous, ils y sont déjà entrés tête baissée, sentant sans doute que les choses n’étaient pas gagnées…
On oublie l’histoire particulière de ces nations si longtemps opprimées sous le joug communiste et qui probablement en ont acquis aujourd’hui une conception plus stricte et exigeante de leur identité.
Les voyages de Macron semblent le plonger dans une étrange exaltation…
Il y a un énorme fossé entre la volonté des peuples et ce que nous voyons de la part des soi-disant élites de gauche en Europe de l’Ouest.
Seuls les peuples sont souverains, et ils risquent fort, à leur tour, de sanctionner, l’année prochaine, les donneurs de leçons.
Mais ce Parlement européen, qui ne sait plus ce qu’est l’Europe, n’a pas pu l’entendre.
Au PPE, il y a des « conservateurs » qui ne conservent rien ; chez les prétendus « libéraux », il y a une volonté de priver les peuples de la liberté de choisir leur destin.
Nadine Morano fait partie de ceux qui n’ont pas voté, mercredi, le déclenchement de la procédure de sanction à l’encontre de Viktor Orbán. Elle exprime son
Le petit bonhomme est là, face à eux, David contre Goliath, avec toute sa gestuelle bourrue et maladroite de ressortissant de l’Europe périphérique.
Ils ont choisi Macron contre Orbán et ils ont eu tort.
Ce sont les mêmes qui veulent l’Europe fédérale et la destruction des nations, les avancées sociétales et la destruction de la famille, l’avortement, l’euthanasie, le mariage unisexe et l’insertion d’une communauté musulmane importante en Europe.
…la finalité est bien évidemment politique et a pour but d’opposer une critique libérale au projet illibéral exprimé à maintes reprises par Orbán.
Pour Boulevard Voltaire, Nicolas Dhuicq commente l’actualité : la rencontre Salvini-Orbán et la crise migratoire en Europe. En second lieu, il analyse les dérives d’un
Entre les gouvernements populistes et les gouvernements mondialistes de l’Union européenne, les hostilités sont ouvertes.
…c’est seulement en désignant clairement l’ennemi que l’on peut gagner la bataille.
À cette Europe post-soixante-huitarde, Viktor Orbán oppose la nouvelle génération, à laquelle Emmanuel Macron n’appartient que par l’âge biologique.
M. Macron devra alors se rendre à l’évidence : insulter les peuples n’est que l’aveu de faiblesse de celui qui n’est qu’un accident de l’Histoire…
Le propre de ces gouvernements « populistes », c’est qu’ils s’opposent forcément là où leurs intérêts nationaux divergent.
Le premier rôle de tout chef d’État est de défendre les intérêts de son pays, et donc de son peuple.
70 % des électeurs ont voté, et 70 % de ceux-ci ont choisi la droite ou l’extrême droite.
En France, Emmanuel Macron et son gouvernement ne se réfèrent au peuple que pour cautionner leur politique…
Il va peut-être falloir y réfléchir un jour. À quoi ? À émigrer à l’Est, pardi !
Dans son message de Noël, Viktor Orbán a résumé ce que nombre d’Européens, conscients de la menace qui pèse sur leur identité, pensent.
Et alors que la campagne est encore loin de nous, ils y sont déjà entrés tête baissée, sentant sans doute que les choses n’étaient pas gagnées…
On oublie l’histoire particulière de ces nations si longtemps opprimées sous le joug communiste et qui probablement en ont acquis aujourd’hui une conception plus stricte et exigeante de leur identité.
Les voyages de Macron semblent le plonger dans une étrange exaltation…
Il y a un énorme fossé entre la volonté des peuples et ce que nous voyons de la part des soi-disant élites de gauche en Europe de l’Ouest.
Seuls les peuples sont souverains, et ils risquent fort, à leur tour, de sanctionner, l’année prochaine, les donneurs de leçons.
Mais ce Parlement européen, qui ne sait plus ce qu’est l’Europe, n’a pas pu l’entendre.
Au PPE, il y a des « conservateurs » qui ne conservent rien ; chez les prétendus « libéraux », il y a une volonté de priver les peuples de la liberté de choisir leur destin.
Nadine Morano fait partie de ceux qui n’ont pas voté, mercredi, le déclenchement de la procédure de sanction à l’encontre de Viktor Orbán. Elle exprime son
Le petit bonhomme est là, face à eux, David contre Goliath, avec toute sa gestuelle bourrue et maladroite de ressortissant de l’Europe périphérique.
Ils ont choisi Macron contre Orbán et ils ont eu tort.
Ce sont les mêmes qui veulent l’Europe fédérale et la destruction des nations, les avancées sociétales et la destruction de la famille, l’avortement, l’euthanasie, le mariage unisexe et l’insertion d’une communauté musulmane importante en Europe.
…la finalité est bien évidemment politique et a pour but d’opposer une critique libérale au projet illibéral exprimé à maintes reprises par Orbán.
Pour Boulevard Voltaire, Nicolas Dhuicq commente l’actualité : la rencontre Salvini-Orbán et la crise migratoire en Europe. En second lieu, il analyse les dérives d’un
Entre les gouvernements populistes et les gouvernements mondialistes de l’Union européenne, les hostilités sont ouvertes.
…c’est seulement en désignant clairement l’ennemi que l’on peut gagner la bataille.
À cette Europe post-soixante-huitarde, Viktor Orbán oppose la nouvelle génération, à laquelle Emmanuel Macron n’appartient que par l’âge biologique.
M. Macron devra alors se rendre à l’évidence : insulter les peuples n’est que l’aveu de faiblesse de celui qui n’est qu’un accident de l’Histoire…
Le propre de ces gouvernements « populistes », c’est qu’ils s’opposent forcément là où leurs intérêts nationaux divergent.
Le premier rôle de tout chef d’État est de défendre les intérêts de son pays, et donc de son peuple.
70 % des électeurs ont voté, et 70 % de ceux-ci ont choisi la droite ou l’extrême droite.
En France, Emmanuel Macron et son gouvernement ne se réfèrent au peuple que pour cautionner leur politique…
Il va peut-être falloir y réfléchir un jour. À quoi ? À émigrer à l’Est, pardi !
Dans son message de Noël, Viktor Orbán a résumé ce que nombre d’Européens, conscients de la menace qui pèse sur leur identité, pensent.