violence
On n’en finit pas d’avancer dans les méandres que l’être humain a inventés, entre les deux infinis, le ciel et l’enfer.
Plusieurs agents du collège ont déjà reçu des coups en tentant de séparer des collégiens qui se battaient.
La sacralisation de la violence qui culmine dans la figure du djihadiste constitue une des sources de cette sous-culture. Elle n’est pas la seule.
L’idéologie, c’est bien ; le principe de réalité, c’est mieux.
Benoît Glotin, militant du Rassemblement national, a été très violemment agressé et blessé dimanche, à Saint-Nazaire, alors qu’il distribuait des tracts. Une agression peu médiatisée
Dijon, Champigny et combien d’autres : la fête est permanente, dans notre pays…
Les lettres anonymes fleurissent sur les paillassons… déposées peut-être par les mêmes qui applaudissent aux fenêtres.
Villes, villages, quartiers, forêts, écoles, familles… partout, le couteau, objet familier et signe de fraternité partagée, est devenu l’arme fatale de notre société ensauvagée.
Les actes d’agression deviennent la respiration naturelle d’une société et d’êtres qui se cognent aux difficultés, à autrui, aux forces qui limitent et entravent.
Nous savons bien que ce vœu présidentiel de lutte « sans complaisance et avec fermeté » va demeurer lettre morte et qu’il rejoindra la longue liste des virtualités volontaristes.
Comment peut-on vaincre la violence alors qu’on suscite les fractures et les affrontements ?
On n’en finit pas d’avancer dans les méandres que l’être humain a inventés, entre les deux infinis, le ciel et l’enfer.
Plusieurs agents du collège ont déjà reçu des coups en tentant de séparer des collégiens qui se battaient.
La sacralisation de la violence qui culmine dans la figure du djihadiste constitue une des sources de cette sous-culture. Elle n’est pas la seule.
L’idéologie, c’est bien ; le principe de réalité, c’est mieux.
Benoît Glotin, militant du Rassemblement national, a été très violemment agressé et blessé dimanche, à Saint-Nazaire, alors qu’il distribuait des tracts. Une agression peu médiatisée
Dijon, Champigny et combien d’autres : la fête est permanente, dans notre pays…
Les lettres anonymes fleurissent sur les paillassons… déposées peut-être par les mêmes qui applaudissent aux fenêtres.
Villes, villages, quartiers, forêts, écoles, familles… partout, le couteau, objet familier et signe de fraternité partagée, est devenu l’arme fatale de notre société ensauvagée.
Les actes d’agression deviennent la respiration naturelle d’une société et d’êtres qui se cognent aux difficultés, à autrui, aux forces qui limitent et entravent.
Nous savons bien que ce vœu présidentiel de lutte « sans complaisance et avec fermeté » va demeurer lettre morte et qu’il rejoindra la longue liste des virtualités volontaristes.
Comment peut-on vaincre la violence alors qu’on suscite les fractures et les affrontements ?