Volodymyr Zelensky

À la grande surprise de tous, Trump se met-il en devoir de faire ce que le candidat Trump avait dit qu’il ferait.

Depuis le début du conflit, la communication est d’une importance vitale pour Kiev du fait de sa dépendance totale à l’aide occidentale.

Monsieur est trop bon ! Monsieur est-il sérieux, d’ailleurs ?

Babette s’en va-t-en guerre avec la morgue que procurent quarante ans de technocratie.

Ce refus d’accéder aux exigences de Kiev qui réclame 300 chars Leopard marque-t-il un tournant ?

Officieusement, Joe Biden devrait aussi faire comprendre à son homologue que cette aide n’est pas non plus inconditionnelle. Plus officieusement encore, il s’agit de tordre le bras de Zelensky et de l’obliger à s’asseoir à la table des négociations.

Maintenant que la guerre est là et que les Américains semblent désormais chercher une porte de sortie, devront-ils finalement constater que le plus gros obstacle n’est finalement pas à Moscou mais à Kiev ?

On ose espérer que les membres de l’Alliance atlantique ne sont pas disposés à passer tous les caprices de Zelensky

On se souviendra alors avec émotion de l’époque où, dans les grandes soirées mondaines, comme à Cannes ou à Venise, si t’avais pas eu ton mot de Zelensky, t’avais raté ta vie.

L’argument défensif utilisé par Kiev ne convainc pas Amnesty.

Selon Amnesty, l’Ukraine met en danger sa propre population civile en installant des emprises militaires au sein des zones habitées. Ça alors !

Les jeunes générations sont gavées d’images. Le risque est qu’elles se lassent : deux mois de guerre en jeu vidéo, c’est déjà trop. Comment les captiver ? En s’adressant directement à elles, avec une stratégie à la Greta Thunberg.

Acculé au tragique, n’est-il pas devenu, quoi qu’on en pense, par ses déclarations irresponsables qui veulent entraîner les Européens et l’OTAN jusqu’à l’irréparable, l’imprévisible pyromane de l’escalade militaire la plus dangereuse qui soit ?

À la grande surprise de tous, Trump se met-il en devoir de faire ce que le candidat Trump avait dit qu’il ferait.

Depuis le début du conflit, la communication est d’une importance vitale pour Kiev du fait de sa dépendance totale à l’aide occidentale.

Monsieur est trop bon ! Monsieur est-il sérieux, d’ailleurs ?

Babette s’en va-t-en guerre avec la morgue que procurent quarante ans de technocratie.

Ce refus d’accéder aux exigences de Kiev qui réclame 300 chars Leopard marque-t-il un tournant ?

Officieusement, Joe Biden devrait aussi faire comprendre à son homologue que cette aide n’est pas non plus inconditionnelle. Plus officieusement encore, il s’agit de tordre le bras de Zelensky et de l’obliger à s’asseoir à la table des négociations.

Maintenant que la guerre est là et que les Américains semblent désormais chercher une porte de sortie, devront-ils finalement constater que le plus gros obstacle n’est finalement pas à Moscou mais à Kiev ?

On ose espérer que les membres de l’Alliance atlantique ne sont pas disposés à passer tous les caprices de Zelensky

On se souviendra alors avec émotion de l’époque où, dans les grandes soirées mondaines, comme à Cannes ou à Venise, si t’avais pas eu ton mot de Zelensky, t’avais raté ta vie.

L’argument défensif utilisé par Kiev ne convainc pas Amnesty.

Selon Amnesty, l’Ukraine met en danger sa propre population civile en installant des emprises militaires au sein des zones habitées. Ça alors !

Les jeunes générations sont gavées d’images. Le risque est qu’elles se lassent : deux mois de guerre en jeu vidéo, c’est déjà trop. Comment les captiver ? En s’adressant directement à elles, avec une stratégie à la Greta Thunberg.

Acculé au tragique, n’est-il pas devenu, quoi qu’on en pense, par ses déclarations irresponsables qui veulent entraîner les Européens et l’OTAN jusqu’à l’irréparable, l’imprévisible pyromane de l’escalade militaire la plus dangereuse qui soit ?
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