Vous n’aurez pas ma haine
Le cinéaste et les producteurs se prêtent au même jeu malsain que les journalistes du Monde ou de France Info : ils focalisent sur la résilience de Leiris, à grand coups de plans démonstratifs, de dialogues larmoyants et de moments de joie calculés, nous privent de toute réflexion sur l’état de la société et nous dissuadent d’employer notre colère la plus saine.
Ils n’auront pas notre haine, soit. Auront-ils seulement quelque chose de notre part, à l’exception d’une soumission résignée.
Le cinéaste et les producteurs se prêtent au même jeu malsain que les journalistes du Monde ou de France Info : ils focalisent sur la résilience de Leiris, à grand coups de plans démonstratifs, de dialogues larmoyants et de moments de joie calculés, nous privent de toute réflexion sur l’état de la société et nous dissuadent d’employer notre colère la plus saine.
Ils n’auront pas notre haine, soit. Auront-ils seulement quelque chose de notre part, à l’exception d’une soumission résignée.
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