Yannick Jadot

Cette campagne sert de révélateur à une gauche française qui pourrait concourir aux Jeux olympiques de la honte.

L’extrême droite fait fantasmer jusqu’à Yannick Jadot, dont l’imagination s’emballe.

En habitué des acrobaties progressistes, le téléspectateur a décrypté le message.

Tout le monde sait bien qu’à la vue de la moindre allocation, l’arrivant à Lampedusa se drape dans sa dignité.

Comme en pareil cas, Yannick Jadot appelle le Numéro Vert « Sandrine Assistance ».

Yannick Jadot, vainqueur de la primaire d’EELV et candidat à la dernière élection présidentielle (4,63 %), a été hué par ses camarades de parti, tandis que les deux flancs de sa voiture étaient tagués de l’inscription « crevure »

Cette gauche naguère donnée pour être de « gouvernement » est hors jeu.

Sandrine Rousseau s’est fait exclure de la campagne de Yannick Jadot à la suite de ses propos très critiques à l’égard de la campagne de ce dernier, affirmant notamment, à propos des choix stratégiques, qu’« ils se plantent sur tout ! »

Comment appelle-t-on quelqu’un qui compte les Blancs, dans un meeting ? Un raciste, non ?

La gauche et Jean-Luc Mélenchon n’ont peut-être pas dit leur dernier mot.

En vérité, de l’insoumis Mélenchon au vert Jadot en passant par le communiste Roussel, c’est « ralliez vous à mon panache blanc, mais ne comptez pas que je me rallie au vôtre ».

La concurrence est rude, chez nos présidentiables de gauche et du centre, pour séduire l’électorat catho.

Il faut se méfier des additions électorales faites sur un coin de table à six mois de l’élection.

L’impôt sur le revenu sera fixé jusqu’à 80 % du salaire, l’impôt sur la fortune s’appliquera à quiconque aura un compte en banque dans un établissement non bio.

Le cacique vert passe de justesse, avec environ 51 % des voix. La victoire de Jadot signe le retour de l’écologie dite raisonnable, elle siffle surtout la fin des illusions.

Il fut un temps, pas si lointain, où les débats entre écolos n’étaient pas réputés passionner les foules. Le très pince-sans-rire journaliste du Figaro Ronan
Compte tenu des résultats du premier tour, il est difficile, à ce jour, de faire un pronostic pour le second tour.

Cette obligation vaccinatoire obtenue, Yannick Jadot et ses ouailles exigeront tout naturellement que les Français se rendent au labo à vélo.

On se dit alors que ce petit monsieur a bien mérité cette petite humiliation devant l’ensemble des députés.

La relève de la bande du Splendid est enfin assurée.

Suite au magnifique festival contre l’islamophobie, les nominés pour recevoir la palme du dhimmi ont enfin été révélés.

Esther Benbassa a-t-elle condamné cet ignoble détournement d’un symbole qu’elle connaît mieux que personne ? Non.

Ainsi, le 10 novembre prochain, les forces de progrès entendent prendre l’air ; ce qui n’est pas une mauvaise idée, surtout en période d’asphyxie électorale.

Bien sûr, il a signé la tribune contre l’islamophobie, mais il était à Bruxelles en train de manger des frites et des gaufres avec ses enfants…

Pauvre Jadot, qui prend ses désirs pour des réalités !

L’écologie pastèque est loin d’être morte et renaîtra, si la conjoncture est favorable.

Dimanche soir, face aux caméras, Yannick Jadot est ému comme s’il venait de remporter la Coupe du monde.

La « grande surprise », inséparable d’une élection, serait le vote écolo. Vraiment ?

Cette campagne sert de révélateur à une gauche française qui pourrait concourir aux Jeux olympiques de la honte.

L’extrême droite fait fantasmer jusqu’à Yannick Jadot, dont l’imagination s’emballe.

En habitué des acrobaties progressistes, le téléspectateur a décrypté le message.

Tout le monde sait bien qu’à la vue de la moindre allocation, l’arrivant à Lampedusa se drape dans sa dignité.

Comme en pareil cas, Yannick Jadot appelle le Numéro Vert « Sandrine Assistance ».

Yannick Jadot, vainqueur de la primaire d’EELV et candidat à la dernière élection présidentielle (4,63 %), a été hué par ses camarades de parti, tandis que les deux flancs de sa voiture étaient tagués de l’inscription « crevure »

Cette gauche naguère donnée pour être de « gouvernement » est hors jeu.

Sandrine Rousseau s’est fait exclure de la campagne de Yannick Jadot à la suite de ses propos très critiques à l’égard de la campagne de ce dernier, affirmant notamment, à propos des choix stratégiques, qu’« ils se plantent sur tout ! »

Comment appelle-t-on quelqu’un qui compte les Blancs, dans un meeting ? Un raciste, non ?

La gauche et Jean-Luc Mélenchon n’ont peut-être pas dit leur dernier mot.

En vérité, de l’insoumis Mélenchon au vert Jadot en passant par le communiste Roussel, c’est « ralliez vous à mon panache blanc, mais ne comptez pas que je me rallie au vôtre ».

La concurrence est rude, chez nos présidentiables de gauche et du centre, pour séduire l’électorat catho.

Il faut se méfier des additions électorales faites sur un coin de table à six mois de l’élection.

L’impôt sur le revenu sera fixé jusqu’à 80 % du salaire, l’impôt sur la fortune s’appliquera à quiconque aura un compte en banque dans un établissement non bio.

Le cacique vert passe de justesse, avec environ 51 % des voix. La victoire de Jadot signe le retour de l’écologie dite raisonnable, elle siffle surtout la fin des illusions.

Il fut un temps, pas si lointain, où les débats entre écolos n’étaient pas réputés passionner les foules. Le très pince-sans-rire journaliste du Figaro Ronan
Compte tenu des résultats du premier tour, il est difficile, à ce jour, de faire un pronostic pour le second tour.

Cette obligation vaccinatoire obtenue, Yannick Jadot et ses ouailles exigeront tout naturellement que les Français se rendent au labo à vélo.

On se dit alors que ce petit monsieur a bien mérité cette petite humiliation devant l’ensemble des députés.

La relève de la bande du Splendid est enfin assurée.

Suite au magnifique festival contre l’islamophobie, les nominés pour recevoir la palme du dhimmi ont enfin été révélés.

Esther Benbassa a-t-elle condamné cet ignoble détournement d’un symbole qu’elle connaît mieux que personne ? Non.

Ainsi, le 10 novembre prochain, les forces de progrès entendent prendre l’air ; ce qui n’est pas une mauvaise idée, surtout en période d’asphyxie électorale.

Bien sûr, il a signé la tribune contre l’islamophobie, mais il était à Bruxelles en train de manger des frites et des gaufres avec ses enfants…

Pauvre Jadot, qui prend ses désirs pour des réalités !

L’écologie pastèque est loin d’être morte et renaîtra, si la conjoncture est favorable.

Dimanche soir, face aux caméras, Yannick Jadot est ému comme s’il venait de remporter la Coupe du monde.

La « grande surprise », inséparable d’une élection, serait le vote écolo. Vraiment ?
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