Terroriste transgenre : 6 personnes tuées dans une école chrétienne américaine
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On ne sait pas encore si Audrey Hale s'identifiait comme homme ou femme au moment où elle est entrée dans le bâtiment de la Covenant School de Nashville (Tennessee). Ce que l'on sait, c'est qu'elle avait sur elle trois armes à feu, dont elle s'est servie pour abattre froidement, au hasard, trois adultes et trois enfants (Evelyn Dieckhaus, Hallie Scruggs et William Kinney, ainsi que Cynthia Peak, Katherine Koonce et Mike Hill), avant d'être elle-même abattue par la police, arrivée sur les lieux en un temps record. Les photographies des victimes sont poignantes : on y voit une directrice qui s'est mise en travers de la route de l'assassin pour protéger ses élèves. On y voit également une belle et grande famille américaine (un pasteur, sa femme, leurs trois fils et leur fille). La petite fille, Hallie Scruggs, une blondinette au sourire plein d'innocence, a été assassinée sans remords par une personne qui, selon le New York Post, était une ancienne élève de l'établissement.
Hallie Scruggs, who is the daughter of the Covenant Presbyterian church pastor Chad, was one of the victims of the Nashville shooting yesterday by a person who claimed to be a transgender
Can't imagine the pain that the family is going through now. Please keep them in your prayers pic.twitter.com/FJmbVvIAvy
— Sachin Jose (@Sachinettiyil) March 28, 2023
Covenant School est une école presbytérienne, une variante du protestantisme, dont la belle devise « Être le pasteur des cœurs, faire croître les esprits, célébrer l'enfance » a été brutalement souillée par un massacre aveugle. La police dit avoir retrouvé un manifeste parmi les papiers laissés par Audrey Hale. Apparemment, elle planifiait un autre massacre dans la foulée. Une photographie la montre, dans des vêtements masculins, avec des lunettes métalliques et un inquiétant sourire. Il est évidemment interdit de faire le moindre lien entre le trouble mental qui pourrait être lié à son « identité de genre » et l'acte qu'elle a commis. Cependant, cette ancienne élève d'une école qui étudie la Bible en parallèle des programmes scolaires pourrait, selon le chef de la police, avoir eu du ressentiment envers la culture chrétienne. On ne peut que s'incliner devant tant de perspicacité.
Ce massacre d’enfant dans une école chrétienne a été commis au nom de l’idéologie du genre. A quelques jours de cet « événement » sinistre. @doramoutot @Margueritestern https://t.co/v5jbMVkIAR pic.twitter.com/A3tpT2WIo2
— Marc Eynaud (@Eynaud_Marc) March 28, 2023
Certaines théories, que l'on ne tardera probablement pas à qualifier de complotistes, établissent un lien entre cette tuerie sauvage et le jour de la vengeance des trans, prévu le 1er avril prochain, en réponse à l'interdiction, par le Tennessee, des chirurgies transgenres sur les mineurs et les spectacles pour adultes. On ne sait pas exactement comment ni contre qui ces activistes du transgenrisme ont l'intention de se venger, mais avouons que cette coïncidence est pour le moins troublante. Audrey Hale a choisi de se venger, dans le cadre de cette journée ou non, en abattant au hasard des professeurs, mais aussi des enfants innocents, dont le regard, même tenu à distance par des photographies, perfore notre cœur d'un reproche silencieux.
Certes, la libre circulation des armes à feu aux États-Unis rend cette tuerie possible. Mais nous, parents, quel que soit le pays dans lequel nous vivons, que faisons-nous pour protéger nos enfants ? Cette petite fille, Hallie Scruggs, n'avait probablement pas d'autre envie que de prolonger sa vie et d'en faire quelque chose de bien. Peut-être, malgré le matraquage immonde des médias, ignorait-elle que la théorie du genre était la nouvelle religion, et que son père, pasteur presbytérien, avait un train de retard sur la marche du monde - une marche vers la mort ?
Probablement, en revanche, cette petite fille, ses amis et sa directrice qui est morte pour sauver d'autres enfants croyaient-ils au Ciel. Qu'il les accueille dans le repos et la joie éternelle. Quant à nous, survivants de ce monde lépreux, regardons-nous bien en face et demandons-nous si nous ne sommes pas comptables, même loin des États-Unis, de ces vies arrachées.
Arnaud Florac
Chroniqueur à BV
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18 commentaires
Ce n’est pas la détention d’armes à feu qui fait problème, mais ce qu’il y à dans la tête de ces gens ! Chez nous, on tue au couteau et à la machette, quand ce n’est pas à la voiture bélier !
Ce ne sont pas les armes qui tuent mais bien la personne qui les manipule. Doit-on supprimer les couteaux de cuisine ou les voitures-trains-avions-velo voire même les trottinettes? Doit-on supprimer le chocolat parce que certaines personnes sont diabétiques? Il faut mettre le doigt sur le problème et non à côté
Les médias présentent avec gourmandise les défilés transgenres, mais se refusent à présenter un meurtrier comme transgenre…Aux ordres, comme d’habitude !
Les médis francais et européens insistent sur les armes à feu, mais occultent au maximum le fait que l’auteur(e) est un(e) trans…
La culture wok, l’identité de genre..etc, tout ce qui provient des US est négatif et n’apporte que le mal être aux personnes mal équilibrées à l’esprit instable. Ces tueries dans les écoles sont le coté visible de leur maladie, la France a été épargnée jusqu’à présent mais pour combien de temps ?
Nos media sont passés sur cet « incident » avec une désinvolture…..silencieuse. En d’autres circonstances
leur émotion nous titre des larmes…
C’est vrai que dans ce pays où nous vivons la vente d’armes est très réglementée, pour moi, pour vous, mais est-ce que ceux des quartiers » le savent, là où celles-ci circulent librement ?… That’s the question…
Et le « gouvernement » qui sait tout ça, s’est empressé de désarmer ceux qui l’étaient, en en faisant par la même, des proies faciles pour ceux qui ne seront jamais désarmés eux ! Quel beau pays…
Étrangement, la transexualité de cette terroriste n’est pas évoquée dans les médias.
Même dans l’horreur absolue, le « camp du bien » reste au garde à vous.
Décidément le « transgenrisme » ne fait pas l’humanité, ni dans le sport, ni dans le port d’arme.
La woke dégénéréssence a ses limites, et elles les expose de bien mauvaises façons.
« Certes, la libre circulation des armes à feu aux États-Unis rend cette tuerie possible. » Sous-entendu: si la détention d’armes à feu avait été interdite, cette tuerie aurait été impossible. Vous savez pertinemment que ce n’est pas le cas, alors pourquoi l’avez-vous écrit? Le problème n’est pas les armes à feu (voyez la Suisse) mais quelques cinglés qui en détiennent.
Notre monde – et la France n’est malheureusement pas épargnée – perd de plus en plus la tête. A force de jeter par-dessus bord toute référence à la loi de Dieu (résumée dans les dix commandements) et tout simplement à la loi naturelle, on fonce tête baissée dans une société du chaos. Il ne me semble pas, sur ce point, être contredit par les événements récents qui secouent notre pays.
Exactement. D’ailleurs, on ne sait même pas si ces armes ont été achetées de façon légales ou si ce sont des armes du marché noir comme dans plus de 90% des meurtres aux USA comme en France.
Par ailleurs, il est intéressant de noter que les états américains aillant les lois les plus strictes sur les armes sont ceux qui ont le plus d’homicides et inversement.
Le wokisme a persuadé les minorités que leur cas était provoqué par la »majorité blanche hétérosexuelle »
Et par la victimisation, les associations ont légitimé la violence comme étant une « vengeance » légitime.
La victimisation est une incitation à la haine et à la violence, il serait temps de s’en rendre compte.
C’est Amérique du Nord nous précède dans tous les domaines. Forcément, nous sommes les alliés.
Déjà que passablement les trans investissaient les écoles et si maintenant ils ont une journée de la vengeance on est bon pour recruter des adjoints au directeur d’établissement rompus à l’antiterroriste. Les fous sont lâchés.
Grande tristesse devant ce massacre. Puissent-ils reposer en paix.
Ma grand-mère Ecossaise, Ethel-Fiona Mac Dowall, était Presbytérienne. Cette doctrine a été fondée par le réformateur Ecossais John Knox.