Toutes pour une : une soupe woke abreuvée d’argent public, bientôt au cinéma !
3 minutes de lecture
« Quand Sara, jeune fille en fuite, découvre que les trois mousquetaires qui protègent la reine de France sont en réalité des femmes, elle décide de partir avec elles et de suivre leur exemple : se transformer pour être libre, se transformer pour être soi… »
Voici le synopsis du film Toutes pour une dont la sortie est prévue en salle le 22 janvier prochain. En seulement 43 mots, ce résumé laisse entrevoir le supplice cinématographique que va être ce long-métrage. Tous les ingrédients du film inregardable sont réunis, à commencer par la relecture (et non l’adaptation) d’une œuvre littéraire. Relecture évidemment féminine (peut-être féministe ?) et woke.
Le wokisme, un courant sans idée…
Ici, les mousquetaires sont remplacés par des femmes qui font tout pour ressembler à des hommes. Elles se bandent la poitrine et se collent de fausses barbes sur le visage. Le but ? Sans doute dénoncer la suprématie masculine tout en mettant à l’honneur les transitions de genre. Du grand classique au Wokistan. Ce monde qui veut casser les codes et déconstruire la société serait-il devenu sans imagination et conformiste ? Il est, en tout cas, sans surprise.
Cette fois, la tambouille est servie par Houda Benyamina, qui a déjà commis les films Divines, sur la vie en banlieue entre trafic et religion, et Salam, sur la conversion de Diam’s à l’islam. Elle pourrait l’être par Audrey Fleurot, qui prépare une série qui suivra la même recette éculée, La Comtesse de Monte-Cristo, ou par n’importe quel autre réalisateur sans idée originale mais ressentant un immense besoin d’éveiller les consciences.
Toutes pour une est un énième film français à message, un énième long-métrage donneur de leçons, une énième production financée par de l’argent public. Car si la bien-pensance peut ainsi s’afficher sur grand écran, c’est en grande partie grâce au CNC (Centre national du cinéma et de l'image animée) et à France Télévisions, des entités étatiques. En 2023, le CNC a distribué 715,8 millions d’euros, dont 311 millions d’euros au cinéma et 277 millions d’euros pour l’audiovisuel. De leur côté, France 2 cinéma et France 3 cinéma versent au monde du grand écran près de 60 millions, chaque année.
… mais pas sans argent
À ces deux principaux sponsors s’ajoutent également les aides versées par les régions, un crédit d’impôt spécial pour le cinéma qui « permet à une société de production, sous certaines conditions, de déduire de son imposition certaines dépenses de production (dépenses dites éligibles), dans la limite d’un plafond de 30 millions d'euros par film », les fonds en tous genres comme celui dit Images de la diversité qui « a pour mission de soutenir des œuvres traitant de la diversité de la population et de l’égalité des chances, contribuant à donner une représentation plus fidèle de la réalité française et de ses composantes et à écrire une histoire commune à l’ensemble de la population française autour des valeurs de la République », et bien d'autres encore.
Des millions d’euros qui partent dans des bobines trustant les dernières places des classements box-office alors que la France est dans une situation économique critique et cherche par tous les moyens comment trouver de l’argent. Pauvre France, pauvre Dumas, pauvre cinéma.
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55 commentaires
Au moment ou on cherche des économies, on voit le résultat !
La culture Woke est une idiotie de grande taille et il est inadmissible que L’Etat paye des acteurs qui n’en sont pas pour faire encore et encore des films incohérents et stupides !
Je me demande pourquoi nos impôts servent à financer le cinéma ,les chanteurs alors qu’actuellement notre patrimoine tombe en ruine et des enfants sont dénutris en France ???
Moi j’aimerai bien un film où Marie Curi est en réalité un homme et Jeanne d,Arc un travesti.
Un film aussi ou Nelson Mandela est incarné par un comédien blanc comme Depardieu…
Ou la bêtise va-t-elle se nicher.
Encore un film débile sans succès payé avec nos impôts..
Probablement, encore un navet de plus à ne pas aller voir mais qui coute cher au conribuable.
La gauche woke, incapable de créer quoi que ce soit, n’a que la destruction pour se faire remarquer et tenter d’exister.
Il s’agit du meilleur film comique de l’année !
Du grand n’importe quoi ! Mais quelle personne normalement constituée peut- s’imposer un tel monceau d’inepties et de plus le payer ? Et une deuxième fois puisque ce film et son « brillant » scénario auront dejà été prépayés par les impôts à travers le CNC . Est-ce cela notre exception culturelle?
Pauvre France Pauvre Dumas et Surtout pauvres Imaginations « Pour Quelques Dollars » que l’on pourrait économiser en ces temps de Dettes !!!
Je me trompe, ou on nous demande de faire des économies. Que l’Etat commence par cesser de subventionner ces inepties que personne n’ira voir. Que ce cinéma woke se débrouille avec ses supporters. Nous, on ne le supporte plus !
A lire le résumé ce film (que je n’irai pas voir) cela me fait penser à cette chose nauséabonde sur laquelle on marche par inadvertance.
Et encore! Cette chose nauséabonde est la suite naturelle d’une digestion et peut (parfois) servir d’engrais. Ce genre de production visuelle n’a pas cette utilité
Et e;core, la ça porte bonheur…
C’est vrai mais pas nouveau en France. Le wokisme US est une péripétie. La seule idéologie US c’est le dollar. En France, cette idéologie woke existe depuis longtemps. Témoignage : en 1963, enfant, je regardais les feuilletons TV. Les héros américains et anglais avaient des visages sympas. Apparait Thierry la Fronde : le choc : un faciès… étrange, coupe de cheveux de fille, fesses moulées dans des collants. La messe est dite.
A quand un film sur « les misérables femmes de Victor Hugo »
Je savais qu’ils avaient touché le fond avec leur « wokisme » ! MAIS là ; c’est grave , même très grave .Il y ceux qui créent et ceux qui détruisent ; les « wokistes » eux ,détruisent en pensant créer !!!
Et ensuite ils font des remises de César pour le meilleur navet tout en conspuant le public qui est trop blanc.
Pardon: Qu’en pensent nos lecteurs ?
Grotesque et pathétique.