[Tribune] Devons-nous laisser l’ultra-gauche faire la loi ?
La séance de dédicace d’Éric Zemmour à Brest a été perturbée, samedi, par des manifestants d'extrême gauche avec la commission d'actes de violence. En Vendée, à l'occasion d'une autre séance de dédicace, le maire d’une petite commune a dû revenir sur son engagement de prêter une salle sous les pressions de la gauche. Sandrine Delatre, déléguée départementale Reconquête Vendée, dénonce ce qu'elle qualifie de « méthodes de voyous pour faire taire l’expression démocratique ».
Des dédicaces pas comme les autres
Si le maire d'une petite commune a dû renoncer, combien de restaurants, de librairies ont dû, eux aussi, s’incliner pour ne pas subir les foudres des opposants ou des pressions en tout genre. Je tiens à souligner que ce maire, sans étiquette, et tenant à la liberté de pensée, est un des rares édiles à respecter son engagement au nom de la démocratie et de ses électeurs. Une attitude courageuse de plus en plus rare chez nos élus.
Mais ces groupuscules qui se disent « antifascistes » en ont décidé autrement.
À Brest, pour le même événement, nous avons vu des images d’une violence inouïe. Nous assistons là aux méthodes habituelles de l’ultra-gauche qui n’hésite pas, par des menaces ou des intimidations, et désormais par des agressions physiques, à priver nos concitoyens de démocratie. Ces gens-là ne veulent pas discuter, ils veulent réduire au silence leurs adversaires politiques. Pour eux, toutes les méthodes sont bonnes, même les plus brutales, pour empêcher non pas la tenue d’un meeting politique mais une simple dédicace.
Que prétend combattre par la violence cette ultra-gauche ?
Le fait que nous dénoncions l’endoctrinement à l’école ? Avec un Pap Ndiaye qui a pour priorité « l’éducation sexuelle obligatoire » dès avant le collège au détriment des enseignements fondamentaux ? Une école d’aujourd’hui en perte de repères, une école de la propagande, mais certainement pas une école du savoir qui permet à chacun selon ses talents d’envisager un avenir avec des bases sérieuses. Les antifas veulent donc faire taire ceux qui veulent simplement protéger des enfants innocents.
Le fait que nous soyons opposés à une immigration incontrôlée ? Et cela justifierait les tabassages ? Les migrants, victimes des passeurs qui organisent la traite humaine moderne, finissent dans des tentes sous des ponts. Est-ce un accueil digne ? Si nous ne sommes pas capables d’accueillir et intégrer ces populations étrangères, pourquoi continuer à entasser de pauvres malheureux sous des ponts loin de leur famille sans espoir en France ? Les Français ont déjà bien du mal à survivre financièrement, taxés et pressurés jusqu’à plus soif.
Le fait que nous dénoncions une insécurité grandissante ? Comme le montre l'attaque au couteau à Annecy. Voulons-nous vivre encore de ces drames sur notre territoire national ou souhaitons-nous préserver la vie de nos concitoyens ? Les antifas refusent de voir la réalité et tentent par la violence de nous museler.
Le fait de vouloir protéger notre patrimoine, notre Histoire, nos fleurons industriels, nos agriculteurs ? Est-ce donc si répréhensible qu’il faille user de violence ?
Le courage doit conduire nos décisions
On grandit en s’écoutant les uns les autres et non en s’affrontant les uns les autres. Quelle société voulons-nous pour demain ? Quand nous voyons l’état de délabrement de notre pays, l’état d’injustice qui y règne, je sais qu’il nous faut retrouver d’urgence une France forte, une France rayonnant sur les plans national et international, une France digne, une France où nos enfants sont protégés, où nos anciens sont respectés, où notre mémoire collective n’est pas dévoyée, où l’expression de la diversité d’opinion a sa place.
Il serait temps que nos politiques agissent enfin dans l’intérêt du bien commun, cessent de trouver des excuses à l’ultra-gauche et permettent l’expression du débat démocratique. Pour toutes ces raisons, nous n’avons pas dit notre dernier mot.
Sandrine Delatre
Responsable Reconquête! pour la 5e circonscription de Vendée
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37 commentaires
On en est à ce niveau de démocratie en France que pour la simple dédicace d’un livre, un homme politique hors doxa d’un parti politique légal doit informer ses supporters et adhérents de l’endroit où elle se tiendra quelques heures seulement avant qu’elle ne se tienne. Mais dans le même temps le gouvernement complice des exactions donne des leçons de démocratie, de liberté et de pluralisme à la terre entière. Allez comprendre !
Manifestement, les S. A. ne sont pas ceux que l’on croit…et le retour des « heures sombres » pas forcément là où l’on les attendait…
Autodafés
Ces « antifas » utilisent les mêmes méthodes que les SA durant les « heures les plus sombres », prochaine étape les autodafé ?
Comment se fait-il que ces groupuscules d’ultra gauches, violents, lâches et débiles, ne soient pas interdits et assimilés à des terroristes ? Leurs actions, leur intolérance à tout ce qui ne pense pas comme eux, relève du terrorisme. Mais peut-être qu’en France, on estime qu’il y a de bons et de mauvais terroristes, comme il y a de bons et de mauvais casseurs ? De plus ces hordes sauvages d’intolérants sont d’une nullité intellectuelle crasse : s’il avait un peu de matière dans leur pauvre petite cervelle, ils se battraient à coup d’arguments. Mais ils prouvent, par leurs actions violentes, qu’ils en sont complètement incapables. Les Français sont impatients de voir quelles seront les sanctions prononcées face à ces actes de violence gratuits : nul doutes que les seuls 3 interpelés seront immédiatement placés en préventive et condamnés très rapidement à de la prison ferme. A moins, qu’une fois de plus, on assiste au 2 poids 2 mesures traditionnels …
Nos politiques ne feront rien ….
ce gouvernement est une honte quand va-t-il s’occuper de ces casseurs , qui s’attaquent à la droite, aux force de l’ordre, qui cassent tout dans les manifestations !! à croire que ça les arrange , mais j’ai le plaisir de voir autour de moi que c’est le contraire qui se passe !!
Je n’avais pas compris le titre. Je pensais qu’il fallait décider si on se laisse frapper ou si on riposte. Evidemment qu’on se laisse frapper.
Il s’agissait juste de formuler un voeu pieu dans lequel des politiciens de gauche critiqueraient des antifas.
Avec des coups de rangers dans la gueule, on entendrait certainement un « tout de même, vous y allez un peu fort ».
Pourquoi ne pas nommer ces gens par ce qu’ils sont ? Ils correspondent en tout point à la définition du fascisme, un siècle plus tôt :
intolérance idéologique, culte de la violence, agressions physique contre qui ose s’opposer à leur pensée unique, mépris du peuple. Les antifas sont les chemises noires du Mussolini de LFI.
Ca crève les yeux, non ?
Ce sont en effet des hommes de main ou des nervis de partis à la dérive !
L »on prête à Winston Churchill la citation suivante : « Les fascistes de demain s’appelleront eux-mêmes antifascistes ». Nous y voilà, la prédiction de Sir Winston se réalise. Avec la bénédiction de nos dirigeants et la complicité active des médias mainstream.
Quand on voit leur comportement à l’Assemblée, tout est dit : pas d’éducation, sauvagerie, mensonges et non respect des lois.
Mais la vraie question est : pourquoi le gouvernement laisse faire ?
L’Etat n’applique plus la loi démocratique aux minorités violentes , l’ultra-gauche , mais aussi les islamistes qui tuent dans nos rues . Cela veut dire que ces groupes appliquent leur loi sur notre territoire , l’ultra gauche pratique la violence qu’elle considère comme légitime et les islamistes appliquent la peine de mort .
Les uns et les autres, ceux qui agissent et ceux qui lassent faire sont les ferments de la guerre civile. Ils provoquent pour créer l’incident qui leur permettra de justifier des exactions toujours plus violentes contre les personnes pour les uns et un couvre feu restricteur de liberté pour les autres qui leurs permettront de continuer leurs politique nocives et suicidaires .
Que pouvons-nous faire ? Rien ! Nous ne pouvons que regarder les trains passer et les manifestions patriotes se faire interdire. Les responsables se trouvent entre le commissariat de quartier et l’Elysée. Le maire de Brest et le préfet du Finistère ne savait-il s pas que les « démocrate-LFI-NUPES » se manifesteraient ? S’ils ne le savaient pas, il faut qu’ils démissionnent ! Il parait que le préfet a déjà une médaille, celle du stade de France. Ce coup-ci dira-t-on que ce sont encore les anglais qui ont attaqué E.Z. ??
En France, la gauche (hors Macron) fait 25%.
L’extrême gauche fait 12%.
C’est donc une micro minorité, mais ils sont tellement idiots qu’iils n’ont pas conscience de leur condition et que par conséquent, ils donnent le statut de martyrs à leurs victimes.
À chaque attaque d’extrême gauche contre lui, Zemmour vend plus de livres.
Car, si Zemmour ne fait que 7%, le fait qu’une extrême gauche détestée de tous s’en prenne à lui à le don de le rendre sympathique (tout en diabolisant la gauche).
Les ennemis de mes ennemis sont mes amis.
Donc avec 12% d’extrême gauche et 7% de Reconquête, les attaques des rouges contre Zemmour lui confèrent un élément de sympathie potentiel chez 81% des français.
Merci les punks à chien!
Si ils étaient plus malins, ils feraient comme lee membres connus du Ku klux Klan qui prétendent toujours défendre le candidat qu’ils n’aiment pas, juste pour favoriser leurs adversaires.
En voyez vous un malin ? il faut un peu d’intelligence pour être malin.
Je ne sais pas si ce sont des punks à chiens mais en tout cas il faut être dans un état second pour attaquer des gens pacifiques qui viennent se faire dédicacer un livre . On peut penser aussi que ces gens sont les grands bénéficiaires du système . Parce que Zemmour avait inscrit dns son programme la fin de la foire aux subventions en tout genre qui permettent à certaines personnes de commettre des violences physiques contre leur opposants politiques sur le dos de la société et les journaux et médias de leurs trouver des excuses . Eux aussi sponsorisés par l’état pour soit disant assurer la pluralité des opinions ! Une situation décidemment très malsaine !
L’ultragauche s’octroi déjà trop de droits et en toute impunité parce que jamais condamnée comme il se doit ni à la hauteur des agressions et de la violence qu’elle sème ou elle passe .