[Tribune] En pleine affaire Ocean Viking, le passeur Cédric Herrou va rencontrer des lycéens !

Alors que l'Ocean Viking débarquait ses clandestins le 11 novembre, dans le port de Toulon, nous apprenions, grâce à notre réseau de Parents Vigilants, que Cédric Herrou rencontrera les lycéens d’un établissement de Luçon (le lycée Atlantique, pour ne pas le nommer), le vendredi 18 novembre 2022, de 13 à 15 heures. Une information confirmée par Ouest-France.

Pour rappel, M. Herrou est un agriculteur actif dans l’aide aux clandestins. Il fut condamné en 2017 pour leur prise en charge illégale sur le sol italien, puis, après une peine alourdie en appel (quatre mois de prison avec sursis), il fut relaxé par la Cour de cassation en 2021, au nom du « principe de fraternité », principe consacré par le Conseil constitutionnel en 2018. On imagine donc que la rencontre de M. Herrou avec les lycéens de Luçon a plus de chance de porter sur la question migratoire que sur l'agriculture bio, d'autant que le lendemain il participera, toujours à Luçon mais dans une salle municipale, à une soirée sur le thème « Migration : le défi de solidarité ».

Un enseignement public neutre ?

Sur le site même de l’Éducation nationale, il est spécifié que « l’enseignement public est neutre : la neutralité philosophique et politique s'impose aux enseignants et aux élèves. » Or, à l'évidence, Cédric Herrou est loin d’avoir un parcours neutre puisqu’il est un acteur actif dans la prise en charge de personnes arrivant illégalement sur notre territoire.

Des clandestins qui finissent malheureusement pour beaucoup d’entre eux, désœuvrés, dormant sous des tentes de fortune, que nous sommes incapables d’accueillir avec dignité car ils sont trop nombreux pour une prise en charge correcte. L’État étant débordé et inactif sur ces questions. Mais de l’« après », M. Herrou ne se soucie sans doute guère. Ce qui lui importe, en somme, c’est d’avoir bonne conscience, en participant à la venue de ces clandestins. Il est un rouage dans le trafic humain puisqu’il est établi que des passeurs profitent financièrement de la misère humaine pour exploiter ces malheureux.

Sachant cela, comment est-il possible qu’un chef d’établissement, d’un établissement public, fasse la promotion de cet esclavagisme moderne en accueillant M. Herrou ?

Nos collectivités, qui investissent plus de 36 milliards d’euros dans le système éducatif français, n’ont pas à financer ou à promouvoir (même gratuitement) de telles interventions, qui ne sont ni neutres, ni éducatives, puisqu’il n’y aura probablement pas d’autres intervenants pour confronter des points de vue différents. Il s’agit là d’un endoctrinement de notre jeunesse, ni plus, ni moins.

La réalité d’une immigration incontrôlée

À l’heure où bien trop de nos compatriotes sont menacés dans leur intégrité physique, ne parviennent plus à vivre dignement, sont soumis à des règles toujours plus absurdes, il est temps de réagir et d’oser dire ce que depuis trop longtemps nous n’osions dénoncer : charité bien ordonnée commence par soi-même, en l’occurrence occupons-nous d’abord des nôtres et, si nous pouvons, quand nous le pourrons, en veillant à ce que nos traditions et notre culture soient respectées, nous pourrons nous occuper de ceux qui en feront la demande légalement afin de leur garantir un accueil digne. Une conception de la hiérarchie des priorités et de la dignité que Cédric Herrou n'a pas l’air de bien intégrer, si l'on s'en réfère à ses « faits d'armes ». En attendant, protégeons nos enfants !

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