[TRIBUNE] Le chaos et la violence, c’est la gauche, toujours la gauche !
La police est d'une curieuse indulgence, face à ces professionnels de la violence.
« Moi ou le chaos », disait Emmanuel Macron, lors de l’élection présidentielle de 2022. Et la France a eu les deux. Même si la situation du pays se dégrade, dans tous les domaines, depuis longtemps, force est de constater que son déclin a connu une particulière accélération, au cours de ces dernières années. Plus un pan de notre société n’échappe, désormais, à la crise, et c’est maintenant un profond désordre politique et institutionnel qui menace, après nos outre-mer, d’embraser tout le territoire.
Conscients de cette réalité et désireux de voir l’ordre se remettre en place, les Français, à l’occasion des dernières élections européennes, n’ont pas hésité à envoyer un message fort à l’adresse du président de la République et du gouvernement. Ainsi, en gratifiant le Rassemblement national d’un score historique tout en renvoyant l’ensemble des autres formations politiques loin derrière, les électeurs ont poussé le Président dans ses retranchements - le contraignant, contre son gré, à prononcer la dissolution de l’Assemblée nationale.
Aérosols plutôt que grenades lacrymo
Il n’en fallait pas plus pour que cette décision actant de fait l’écrasante victoire du premier parti d’opposition ne réveille les vieux démons de la gauche. C’est ainsi que, sitôt connus les résultats définitifs, partis politiques et syndicats de gauche appelèrent à des manifestations dans tout le pays. Et comme à l’accoutumée, certaines d’entre elles ne manquèrent pas de dégénérer en dégradations et violences.
Lors de ces manifestations, notamment à Lille mais également à Dijon, les policiers engagés dans le cadre du maintien de l’ordre ont reçu pour instructions de ne pas intervenir d’initiative, même en cas de dégradations. Par ailleurs, consigne leur fut donnée de ne pas utiliser de grenades lacrymogènes et de se contenter d’employer les aérosols en dotation. Les policiers sur le terrain n’ont pas manqué de se poser la question du pourquoi une telle mansuétude à l’égard des casseurs.
La police indulgente, un calcul politique à court terme
Une telle attitude des autorités à l’encontre des manifestants de gauche, voire d’extrême gauche, n’est cependant pas nouvelle. Tous les responsables de l’ordre public ayant eu à diriger des opérations de maintien de l’ordre ont été confrontés, un jour ou l’autre, à une telle situation. La gauche dans notre pays, y compris dans ses éléments les plus ultras, a toujours pu bénéficier de l’indulgence des pouvoirs en place lors des manifestations qu’elle organisait, même les plus violentes. Si le souci d’éviter des morts ou des blessures graves a pu, un temps, être entendu, il est clair que ce seul motif ne suffit pas à expliquer ce qui s’est toujours apparenté à une certaine forme de connivence entre les gouvernants de tous bords et la gauche française.
Pourtant, aujourd’hui, un pas supplémentaire semble avoir été franchi. Et une hypothèse se fait jour, notamment au sein des forces de l’ordre. Dépassé politiquement et incapable de reprendre la main par le jeu normal des pouvoirs et des institutions, le gouvernement aujourd’hui aux abois miserait sur un pourrissement de la situation, en particulier en matière d’ordre public. Destiné, d’une part, à discréditer la gauche, mais aussi, d’autre part, à effrayer les électeurs en agitant ainsi le spectre d’une guerre civile, cette manœuvre permettrait au pouvoir en place de se présenter comme le sauveur de la France, espérant de la sorte en recueillir les fruits électoraux.
Bien entendu, il s’agit là de purs calculs politiciens. Laisser s’installer un climat de peur dans notre pays tout en espérant en garder le contrôle fait partie des méthodes destinées à influencer les élections à venir. Il faut cependant savoir que le risque de désordre en cas d’accès au pouvoir du Rassemblement national ne s’est jamais manifesté d’aucune manière. En revanche, le chaos et la violence savamment organisés et mis en place ont toujours été le fait de la gauche. Une gauche qui n’admet pas le vote des Français, sauf lorsqu’elle en profite.
Les Français se verront-ils confisquer leur vote, les 30 juin et 7 juillet prochains, par les vrais organisateurs du désordre général ? Il faut espérer que non.
Olivier Damien
Conseiller régional de Bourgogne-Franche-Comté, Commissaire divisionnaire honoraire
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38 commentaires
La police obéit aux ordres qu’on lui donne………….
Hélas oui ! ça me rappelle quelque chose ( 1942; en l’occurence, c’était la gendarmerie. Mon grand’ père a démissioné..)
Hélas…
» Et comme à l’accoutumée, certaines d’entre elles ne manquèrent pas de dégénérer en dégradations et violences ». La violence est inhérente à la gauche. « Le pouvoir est au bout du fusil » proclamait Mao, leur dieu.
Darmanin ne fait rien contre cette bande de black bock , ils ou leurs parents sont certainement des proches du « pouvoir » et profite d’impunité pour accuser le RN !
Messieurs Macron , Darmanin et Dupont M , il n’y a aucune honnêteté républicaine à tout cassé et a blesser ou tuer des policiers et gendarmes ! Messieurs vous ne respectez pas les Français et n’admettez aucune idées autre que les votre et cela s’appelle « dictature » !!!
Après l’effondrement économique du communisme les « Grands Marchands » occidentaux ont triomphé. Normal. Leur intelligence, maligne, c’est qu’ils se sont servis de tout un ensemble de groupuscules extrémistes et marginaux, dits de « gauche », pour se donner une image de « progressistes ». C’est très habile, et c’est profitable. L’économie reste en leur pouvoir, la politique par conséquence, et les trouble-fêtes ne dérangent que les peuples. Pas les élites.
Puisqu’on vous dit que le danger vient des groupuscules d’extrême droite!
Le deux poids deux mesures en toute circonstance est une marque du macronisme, parmi quelques autres qui ne peuvent que dissuader les Français de voter pour ses représentants. Mais dans le cas présent s’ajoute la pratique de la politique du pire. Honteux.
Prétendre vouloir d’un côté « clarifier » la situation, sous couvert d’honnêteté républicaine, et de l’autre manifester une évidente complaisance vis à vis de l’extrême-gauche islamo-fascisante, c’est toujours du « en même temps » !
Bien des casseurs sont connus… sinon, la France a cependant les moyens de leur demander des comptes. Pourquoi n’est ce pas le cas ?
Parce qu’une bonne partie sont des flics en civil, pardi.
N’importe quoi…
Il y a bien longtemps que je dis que la police, la gendarmerie, l’armée devront prendre leurs responsabilités et nous protéger
la police, celle qui oeuvre discrètement pour le pouvoir politique, quel qu’il soit, a, de tout temps manipulé les groupuscules voire tout soulèvement, souvent infiltrés. Ainsi lors de manifestations des gilets jaunes, les « antifas » débouchant tranquillement de voies contrôlées par les forces de l’ordre, pour semer, après avor changé de tenue, la violence, en toute impunité. Il est probable que cette manipulation va prospérer, surtout si le RN accepte une cohabitation nécessairement conflictuelle. Macron a besoin d’un chaos pour sa démonstration. Pour le moment, aux abris, ce qui ne saurait durer après les élections. Question : jusqu’ou obéiront les forces de l’ordre qui ne demandent qu’à rétablir l’ordre public ? Leur regard lors des premières manifestations des gilets jaunes en disait long sur leur pensée.
On peut effectivement craindre que le pouvoir joue le pourrissement et le chaos. On ne peut qu’être très inquiet quand on entend notre président s’exprimer quotidiennement en tenant des propos de moins en moins cohérents.
Le barrage anti fasciste risque de fonctionner une fois encore et il est fort probable que notre futur premier ministre soit Mélenchon.
Contrairement à ce qu’espère notre président, peu de Français vont voter en pensant à la réussite des JO !
Je suis toujours choqué quand je vois ou entends « la police », comme si c’était les policiers qui laisseraient faire ou pas, en réalité les forces de l’ordre qui sont en première ligne et paient un lourd tribut aux agissements de tous les voyous, ils aimeraient bien avoir des ordres des autorités civiles pour intervenir, soit: le président, le premier ministre, le ministre de l’intérieur et les préfets, qui n’ont qu’une obsession maladive: l’extrême droite ou qualifiée telle, alors que LFI, est qualifiée de gauche, peut-être même de gauche « républicaine ».
La police fait ce qu’on lui dit de faire. Le gouvernement ne veux pas encercler 1500 manifestants violents et les cloîtrer dans un stade, sous des tentes, en attendant leur jugement. Aki @ OR prend soin d’eux.
Les groupes soucieux de préserver l’identité judéochrétienne de la France, les groupes soucieux de protéger nos frontières sans aucune violence, sont dissous d’un claquement de doigts par Darmanin. Les hordes de sauvage qui saccagent nos monuments historiques ou religieux (juifs et/ou chrétiens évidemment), agressent la police, arrachent les drapeaux français et exhibent des drapeaux du hamas, peuvent tranquillement continuer à mener leurs exactions. Darmanin les laisse proliférer et s’éclater au détriment de ce qui reste de la France ; vu la position du syndicat de la magistrature financée par le con-tribuable, on peut aussi se douter qu’au niveau justice ces barbares ne risquent pas grand chose. Vivement l’arrivée d’un gouvernement qui sanctionnera, anéantira ces barbares et protégera les innocents.
Vous avez raison. Dissoudre, c’est la seule chose que sait faire ce gouvernement. Dissoudre la France dans le mondialisme et l’immigration, dans le machin Européen. Dissoudre les associations de patriotes, dissoudre son histoire et sa culture…
J’imagine Mélenchon hurlant aux oreilles d’un huissier : « »mLe chaos c’est moi ! », avant de faire arrêter cet huissier et de le faire déporter.
Mélenchon n’est qu’un être méprisant et méprisable.
Tous ces groupuscules extrêmes gauchistes, Antifas, etc., sont l’armée de l’ombre de Mélenchon et de ses sbires LFIstes.