[TRIBUNE] Trump met fin à la supercherie trans dans le sport féminin !
Le 6 février 2025, dans un Bureau ovale rempli d’athlètes féminines de tous âges venues témoigner de leur combat, Donald Trump a signé un décret historique : « Keeping Men Out of Women's Sports ». Ce texte met fin à l’injustice qui permettait à des hommes biologiques, s’identifiant comme femmes, de concourir contre des athlètes féminines. Une victoire éclatante pour le bon sens, un camouflet pour le wokisme qui gangrène nos sociétés sous l’influence d’officines militantes. Ce décret, attendu par une majorité silencieuse, marque un tournant décisif.
Le CIO dans le viseur
Ce décret n’est pas qu’un symbole. Il met la pression sur le Comité international olympique (CIO) à l’approche des Jeux de Los Angeles 2028. Trump envoie un message clair : les fédérations sportives ne doivent plus tolérer ces absurdités. Et pour ceux qui refuseraient de revenir à la réalité ? Plus un centime d’argent fédéral. Trump a affirmé que ce décret marquait la fin de la lutte contre le sport féminin.
900. C’est le nombre d’athlètes féminines, aux États-Unis, qui ont été privées de médaille, de reconnaissance, de carrières et de bourses sportives au profit d’hommes biologiques s’identifiant comme femmes. 900 ! Le cas Riley Gaines est révélateur de cette injustice. Riley Gaines, nageuse de haut niveau de l’université UPenn en Pennsylvanie, s’est vu refuser un trophée au profit de Lia Thomas, athlète transgenre, alors qu’elle a fini la course ex æquo ! Le plus absurde, dans tout cela ? Les organisateurs ont admis que ce choix était « symbolique » et délibéré afin de donner de la visibilité à Thomas. Ce n’est pas du sport, c’est de l’ingénierie sociale. Les femmes sont sacrifiées sur l’autel du wokisme au nom du politiquement correct !
Malaise dans les vestiaires
Ce combat ne se joue pas qu’à la ligne d’arrivée ou au podium. Il se joue dans l’intimité des vestiaires. Des jeunes filles forcées de partager leurs espaces d’intimité avec des hommes biologiques sous prétexte que ceux-ci « s’identifient » comme femmes. Qui a demandé leur consentement ? Qui a pris en compte leur malaise, leur sentiment d’insécurité, leur dignité même ? Qui les a défendues contre cette intrusion imposée ? Personne. Parce que l’idéologie ne tolère pas l’opposition.
En tant que père de famille, je suis révolté ! Comment peut-on accepter qu'une jeune fille doive se déshabiller dans le même vestiaire qu'un homme biologique sous la pression d'une minorité militante qui impose ses dogmes ? Ce ne sont pas des cas isolés, c'est une tendance structurelle, orchestrée par des institutions qui préfèrent satisfaire des activistes plutôt que de protéger la dignité et la sécurité des femmes.
Une folie idéologique
Les chiffres sont implacables. Selon le Cato Institute, un homme post-puberté conserve 15 fois plus de testostérone qu’une femme. Il bénéficie d’une capacité pulmonaire supérieure, d’une densité osseuse plus élevée, d’une masse musculaire 35 % plus importante. Dans certains sports, l’avantage peut atteindre 20 % en performance pure. Et quand cela se traduit en compétition ? En MMA (mixed martial arts), un athlète transgenre a fracturé le crâne d’une adversaire féminine. Des cas de paralysie ont été répertoriés, notamment en sports de combat.
Le sport féminin n’est qu’une des sphères touchées par cette folie idéologique. Les entreprises cèdent à la censure : ceux qui osent critiquer ces absurdités sont marginalisés ou virés. Le cinéma récompense des hommes pour des rôles féminins : Karla Sofía Gascón, un homme biologiquement masculin, était pressenti pour l’Oscar de la meilleure actrice (sic) pour sa performance dans Emilia Pérez. Mais sa candidature a été écartée après que des propos jugés « douteux » ont suscité l'indignation. Même Hollywood commence à voir les limites de ses excès.
Avec ce décret, Trump envoie un message aux institutions sportives : fin des financements pour les écoles et universités qui acceptent les athlètes transgenres dans le sport féminin. Fin des subventions pour les associations qui promeuvent ces injustices. Retour à une réalité indépassable : homme et femme sont biologiquement distincts. Le sexe ne peut être dissocié du genre.
La France pas à l’abri
Ne croyons pas que la France soit à l’abri. Ces dérives progressent, lentement mais sûrement, sous prétexte de modernité et d’inclusion. Si nous laissons faire, ce qui est aujourd’hui une absurdité outre-Atlantique deviendra notre quotidien demain.
Edmund Burke disait : « Ce qui permet au mal de triompher, c'est l'inaction des hommes de bien. » Le sport féminin est attaqué, les entreprises imposent la censure, le monde du divertissement ne reconnaît plus la réalité. Le wokisme s’impose parce que nous nous taisons. Mais nous pouvons briser cette dynamique.
Ne plus se taire. S’opposer aux absurdités. Exiger le retour du bon sens. Parce que la vérité n’a pas besoin de s’excuser. Cette situation peut tout à fait s’implanter en France. Il faut maintenir la vigilance et poursuivre cette bataille culturelle.
3 commentaires
Un président avec des gonades et non des humeurs comme notre résident de l’Élysée !!!!
Heureux Américains d’avoir un président de la trempe de Trump! Malheureux Européens, Européens pas au sens ou l’entendent en France les politicards du système et les membres de la ‘Bruxelloklatura », mais bien au sens noble du terme. Européens qui sont dirigés par une caste dévoyée et gagnée par les délires les plus mortifères!
Bravo, Monsieur Trump! Et merci!