Un jeune du même club de rugby que Thomas (Crépol) mort après une fusillade

Brève breve

Ce vendredi 2 novembre, rapporte Le Dauphiné libéré, l'une des victimes d'une fusillade ayant eu lieu la veille dans l'Ardèche est décédée.

Selon le journal, « le parquet de Privas vient de communiquer une triste nouvelle. Nicolas, jeune rugbyman de 22 ans, joueur en équipe fanion au Rugby club Romanais-Péageois (RCRP), est décédé samedi 2 novembre en début d’après-midi des suites de ses blessures.»

Ce club de rugby était celui du jeune Thomas, décédé il y a un an à Crépol, comme le confirme un communiqué du club, publié sur facebook vers 18 heures : « Le club est à nouveau touché en plein coeur depuis jeudi soir. Nicolas, Kolbe, Nico, la princesse ou encore tellement d’autres surnoms vient de nous quitter dans d’atroces circonstances. Nous sommes de nouveau anéantis et adressons nos plus sincères condoléances à sa famille et à ses proches »

Le journal rappelle les circonstances de cette fusillade du 1er novembre : le jeune Nicolas « avait été atteint d’une balle à la tête alors qu’il patientait pour entrer dans la discothèque de Saint Péray, le Seven, lors d’une soirée Halloween.»

La fusillade a fait deux autres victimes : une femme de 25 ans, atteinte d’une balle dans la jambe et un agent de sécurité de l’établissement, âgé de 22 ans. Ils ont été transportés à l’hôpital de Valence.

Le tireur serait toujours activement recherché et, d'après Le Monde, la fusillade serait liée au trafic de stupéfiants.

Réactions d'élus de droite du territoire de Nicolas et Thomas

Plusieurs élus de droite de l'endroit ont immédiatement réagi, comme Thibaut Monnier, député de la Drôme (IDL, le parti de Marion Maréchal) de la circonscription où se situe Crépol.

Le maire LR de Romans-sur-Isère, Marie-Hélène Thoraval, a également réagi.

Vos commentaires

Un commentaire

  1. Encore un !
    Meilleures pensées pour la famille et les amis de Nicolas.
    La justice a trouvé très rapidement ceux qui ont partagé leur « colère » après le mort de Thomas.
    La justice trouvera très rapidement ceux qui partageront leur « colère » de la mort de Nicolas.
    La justice n’a toujours pas trouvé le ou les assassins de Thomas.
    La justice trouvera-t-elle l’assassin de Nicolas ?
    La justice obéit-elle à une idéologie ?
    La justice redoute-t-elle de stigmatiser une certaine partie de la population ?

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