Un mort à Vaulx-en-Velin, la ville symbole du fiasco immigrationniste

L’information trouble un peu le ronron médiatico-politique. Ce lundi 7 avril, un jeune de 19 ans a été abattu par balle, en début d’après-midi, dans une rue de Vaulx-en-Velin, cette commune emblématique des ravages de l’immigration en France, tout près d’une école élémentaire. « Selon les premiers éléments de l'enquête, il pourrait s'agir d'un guetteur d'un point deal proche d'une école élémentaire », affirme France Info.
Il faut mettre des mots sur le désastre. La maire de Vaulx-en-Velin, l’ancien ministre socialiste Hélène Geoffroy, veut « rassurer », car « on ne peut pas vivre avec l’angoisse, évidemment ». Évidemment… Elle veut travailler sur l’urbanisme des années 1970, « trop adapté à l’installation des dealers », il faut « se mobiliser », apporter « des réponses qui soient à la hauteur de ce qui s’est passé ». On va dépenser plus, en somme. « Il faut de la police présente pour empêcher les points de deal de se réinstaller. C'est un point de deal qui avait été démantelé il y a quelques semaines », souligne Hélène Geoffroy. Des CRS supplémentaires ont été envoyés lundi. Vaulx-en-Velin, symbole des bienfaits de l’immigration et de l’incroyable réussite de l’intégration à la française…
Tonneau des Danaïdes et immigration sans frein
Les premières émeutes urbaines ont pris naissance ici : dès 1979, à Vaulx-en-Velin, des jeunes d’origine maghrébine attaquent les forces de l’ordre et dénoncent le harcèlement policier. Nouvelles émeutes, en 1981. En octobre 1990, un motard force un barrage de police et trouve la mort, toujours à Vaulx-en-Velin : émeutes encore, destructions, affrontements avec la police, incendies, pillage du centre commercial. La France entière découvre ce qu’on lui cache à grand-peine : le temps de la guérilla urbaine est venu. Deux ans plus tard, en 1992, Mohammed B., un jeune de 18 ans, décède après un tir des gendarmes alors qu’il force, lui aussi, un barrage de police au volant d’une voiture volée… Trois nuits d’affrontements, un commissariat criblé de balles, une trentaine de véhicules saccagés ou brûlés. En novembre et en décembre 1993, la mort de deux délinquants provoque à nouveau trois jours d’émeutes. En octobre 1995, le terroriste islamiste Khaled Kelkal, né à Mostaganem en Algérie, mais installé avec sa mère à Vaulx-en-Velin, est abattu à une trentaine de kilomètres de Vaulx-en-Velin, à Vaugneray. À nouveau, Vaulx-en-Velin connaît les affrontements entre plusieurs centaines de « jeunes » et les forces de police. Lors des émeutes de 2023, après la mort de Nahel, quatre policiers sont blessés à Vaulx-en-Velin après des tirs de fusil à grenaille. On en oublie…
Les réponses restent les mêmes, toujours les mêmes. On a bien compris le maire de Vaulx-en-Velin, après ce nouveau meurtre. La France va, une fois de plus, plonger dans le tonneau des Danaïdes des financements publics sans évoquer l’éléphant qui gambade et fracasse tout dans la pièce : l’immigration sans frein et ses conséquences.
Si les subventions changeaient la donne...
Et pourtant… La Cour des comptes, qu’on ne soupçonnera pas de déviance idéologique, s’est penchée sur la gestion de cette commune, dans un rapport publié en février 2021. Vaulx-en-Velin ne manque pas d'argent public. On peut lire les efforts financiers considérables déployés par l’État, donc par tous les Français, pour la turbulente commune… en pure perte. « À la différence de nombreuses collectivités, la commune de Vaulx-en-Velin n’a pas enregistré de baisse globale des dotations de l’État, écrit la Cour des comptes (page 79). En effet, la dotation globale de fonctionnement a légèrement augmenté de 6,6 % depuis 2013, pour s’établir à 22,3 millions d'euros en 2018. Ce montant s’avère très important, notamment en comparaison des 25,5 millions d'euros de ressources fiscales directes perçues par la collectivité lors du même exercice. » La politique de la ville arrose Vaulx-en-Velin avec une générosité aveugle : « La dotation de solidarité urbaine (DSU) répond aux importantes problématiques urbaines auxquelles est confrontée la commune de Vaulx-en-Velin, au titre de ses trois quartiers prioritaires de la politique de la ville. Elle représente désormais plus des trois quarts de la dotation globale de fonctionnement (DGF) » de la ville. Ce n’est pas tout : « La commune perçoit, également de la part de l’État, la dotation de politique de la ville (DPV) depuis 2016 », ajoute la Cour des comptes, soit 1,7 million en 2018.
Mais voilà, si les politiques d’intégration fonctionnaient, Vaulx-en-Velin serait un paradis terrestre. Si l’immigration était une chance pour la France, on se battrait dans tout le pays pour y habiter. Si les subventions publiques changeaient la donne (la politique de la ville a déversé 117 milliards d’euros dans les banlieues, entre 2010 et 2023 !), Vaulx-en-Velin ferait concurrence à Saint-Tropez ou à Versailles. Au lieu des dealers, on croiserait des docteurs en économie et des diplômés de Polytechnique avec attaché-case. Si la pauvreté était la cause de la délinquance, les campagnes alentour seraient des coupe-gorge et les cités des dealers des havres de paix. En 45 ans, de 1980 à aujourd’hui, combien les Français ont-ils déversé en pure perte, sur Vaulx-en-Velin ? A-t-on le droit de poser la question ? On va donc mettre plus d’argent. Perseverare diabolicum.
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29 commentaires
Depuis que l’Humanité existe, les mélanges entre races et tribus différentes ont toujours été catastrophiques.
Ce n’est pas « raciste » de le dire, c’est tout simplement réaliste. Et on le vit tous les jours, plusieurs fois par jour, et cela ne peut qu’aller en empirant !
Un schouff, bof pour une fois c’est moindre mal !
On ne va pas pleurer sur une racaille… Qu’ils fassent le ménage entre eux pour commencer, puisque nos politiques sont incapables de faire régner l’ordre.
Mr Baudriller, afin de « tenir compagnie » aux polytechniciens et aux docteurs en économie, vous avez oublié quelques énarques…Ça pourrait peut-être leur faire du bien (aux énarques)…
Toujours le même schéma ; une rixe , un règlement de compte tournent mal , on déplore un voire plusieurs morts et la presse et les médias en font leurs « choux gras » , dès lors nous voyons dès le jour même l’édile prendre la parole et déplorer ce triste fait , et on voit un déploiement des forces de l’ordre prendre position sur les lieux , bien !!! mais qu’ a t-on fait en amont ? si l’on savait ce lieu comme un « point de deal » pourquoi attendre que de tels actes se déroulent . Il faudrait m’expliquer ?
Je n’ai pas regardé le plan des rues de la ville mais je suis certain que je vais trouver tous les habituels communistes, décoloniaux, marxistes, féministes de gauche, algériens des maquis, poètes gauchistes, athlètes noirs etc…Il ne faut pas s’étonner donc, en regardant la photo d’illustration, à quoi peut bien ressembler la population de cette municipalité.
.financière OK, mais avec MON pognon ! marre.