Une étudiante violée par un algérien sous OQTF, c’est la faute à Cnews

Les 21 et 22 mai avait lieu un procès comme il y en a beaucoup en France. Dans le box des accusés, Houari M., un migrant algérien de 28 ans arrivé en métropole illégalement, en 2020. En mars 2021, il est condamné pour vol et se voit remettre une OQTF. Il reste malgré tout sur le territoire et continue sur la même lancée. Il passe de squat en squat, boit, se drogue, vole, cambriole… Neuf mois plus tard, il est de nouveau interpellé et une deuxième OQTF tombe. Il ne repart toujours pas en Algérie, ni de gré, ni de force. Il ne bouge pas de sa région Île-de-France « d'adoption ».
En août 2022, sa vie prend une nouvelle tournure. Alors qu’il cambriole le domicile d’une étudiante de 19 ans à Maisons-Alfort, il se rend compte qu’elle est présente dans l’appartement et décide de profiter de la situation. Sous la menace d’une lame de ciseaux, il l’oblige à se déshabiller et la viole pendant près d’une heure. Des faits rapportés, quelques jours plus tard, par nos confrères de CNews, du Figaro et du Parisien.
Une affaire malheureusement banale
Les mêmes qui se sont rendus, cette semaine, au tribunal judiciaire de Créteil pour suivre l’affaire. Chose qui n’a, semble-t-il, pas plu à l’avocate de Houari M., en tout cas pour ce qui est de la présence d’Amaury Bucco, chroniqueur police-justice de la chaîne d’information en continu. Il raconte à BV que, lors de la première journée d'audience, l’avocate est allé voir son client « pour lui parler de CNews », pour le prévenir que, pour la chaîne, « les détenus sont tous des étrangers ».
Ce n’est pas tout. Le lendemain, après ce premier avertissement à l’accusé, celle qui le représente s’adresse au jury pour parler, une nouvelle fois, de la présence d’un journaliste de la chaîne de la TNT. Au cours de sa plaidoirie, elle s’étonne qu’Amaury Bucco ait fait le déplacement alors qu’il s’agit d’un dossier « qui n’a pas grand intérêt médiatique ». Notons qu’elle ne s’en offusque pas lorsqu'il s’agit du Figaro ou du Parisien.
Une défense surréaliste
Selon le journaliste, elle aurait également déclaré que CNews était sur place pour pouvoir dire : « Encore un étranger en situation irrégulière qui viole et qu’il faut expulser. » Pour Amaury Bucco, c’est une manière de demander aux cinq juges de « ne pas céder aux pressions médiatiques et une façon de dire : il y a un média xénophobe, ne leur faites pas ce plaisir ».
C’est la première fois que le chroniqueur assiste à un procès où le média pour lequel il travaille est ciblé de la sorte. Il sait que « CNews n’est pas populaire dans le monde de la Justice car CNews demande souvent plus de sévérité », mais il ne s’attendait pas à cela. Pour lui, que cela plaise ou non à l’avocate, ce désir de fermeté « est une demande populaire. Les gens ont besoin de plus de sécurité et les médias de droite s'en font l'écho. »
Concernant l’affaire, contrairement à ce que pense la défense, Amaury Bucco considère, lui, qu’il y avait grand intérêt à suivre le procès car il prouve, une fois de plus, « qu’il y a une faille systémique à la fois pénale et migratoire ». Il conclut : « Cet homme aurait dû être condamné et expulsé. » Cela aurait probablement évité un viol et cette incompréhensible sortie de l’avocate qui semble avoir oublié que les coupables ne sont pas ceux qui dénoncent les faits mais ceux qui les commettent.
Pour information, Houari M. a été condamné à 13 ans de réclusion criminelle et une interdiction définitive du territoire. La victime et sa famille seraient satisfaites de cette peine.

Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR

51 commentaires
Mais c’est bien sur toutes les situations de ce genre en France c’est de la faute de cnews et du RN c’est tellement simple comme argument pour ceux de gauche
Les lois françaises ont tout prévu. Entre autres que les victimes assurent par leurs impôts ,les salaires des avocats de leurs bourreaux .
Curieusement en France les hors la loi, délinquants en tout genres sont mieux traités par les honnêtes gens, en prison pour la moitié de leur peine leur vie est meilleurs que dehors de plus ils se font des amis incontournables.
une avocate qui défend un violeur., il pourra donc recommencer à sa sortie de prison!!!!…..que fait-elle du droit des femmes ?…….
Encore « une chance pour la France » en prison pour vols, viols, agressions… Tout des métiers en tensions.
Donc dans 6 ans il est libérable avec une nouvelle oqtf. On est sauvés.
Pour l´avocate, « l´affaire n´a pas grand intérêt médiatique »
Il n´est ni de sa compétence ni de ses attributions de délivrer le label « intérêt médiatique ».
Allô les féministes wokistes ….
Ce criminel a eu de la chance de finir dans une cellule à nos frais pendant 13 années.
Le jour viendra où la clémence disparaitra.
J’espère vivre assez longtemps pour voir ce jour.
Il fera 5 ou 6 ans dans une prison dorée aux frais des victimes , restera en France parce que personne ne le virera et pourra recommencer . Pourquoi se priver quand on a laval du gouvernement et de la justice . Qui pour faire le compte de ces gens qui auraient pû être épargné si ces OQTF avaient été appliquées , Darmanin , macron : coupables et complices .
Les frais de détention seront-ils réclamés au pays d’origine ?
Et un de plus qui va coûter un pognon de dingue ! … Qui ET SURTOUT quand va t-on avoir des vrais dirigeants qui protègeront la FRANCE et les français particulièrement contre ces parasites ! ? …
Au sujet de cette « avocate », elle est mûre pour partir en « mission » dans les pays où les femmes n’ont aucuns droits et surtout pas de se plaindre d’être des « trophées » exhibés par les islamistes ! ….
Les juges et les magistrats de notre pays, vous vous feriez poignardé et l’agresseur vous laisserait son couteau planté dans votre dos, cette justice serait presque capable de vous mettre en examen pour port d’arme interdit…
et que dire de cette avocate ?…… cela commence par là
13 ans de réclusion? Même si c’est confirmé en appel, il en fera 5 au maximum. Quand à « l’interdiction définitive du territoire français », quelle rigolade!
13 années qui seront réduites de moitié (au mieux) et une interdiction de résider en France qui ne sera pas exécutée comme les 2 premières .