Val-d’Izé : un nouveau Crépol évité de justesse ?

Ce devait être une sympathique petite fête de village, comme il s’en déroulait jadis partout à travers le pays. Samedi 22 mars dernier, le club de basket de Val-d'Izé, commune bretonne de 2.600 âmes, organisait sa soirée annuelle, au sein du centre culturel municipal. Au menu : apéritif saucisse et colombo de poulet pour les grands, cordon bleu et gratin pour les enfants. Ouverture de la piste de danse à 23h30. Tout avait été prévu pour que les adhérents du club passent un bon moment.
La soirée vire au cauchemar
Mais c’était compter sans l’irruption d’un groupe d’individus inconnus des organisateurs. Selon nos confrères d’Actu.fr, une bande « qui n’avait rien à voir avec le club de basket » aurait tenté, à plusieurs reprises, de s’introduire à l’intérieur du centre culturel sans y avoir été invitée. « On ne les connaît pas […] on est certain qu’ils ne sont pas de Val-d’Izé », a rapporté un témoin de la scène. Certains de ces « jeunes » étaient, semble-t-il, armés de couteaux. En tentant de s’interposer, le père d’un des licenciés a été grièvement blessé à la tête. Il a été hospitalisé, victime d’un traumatisme crânien.
Val-d’Izé (35) : un nouveau Crépol évité de justesse dans ce village. Un homme blessé à la tête, des jeunes extérieurs armés de couteaux en cause
https://t.co/8vUObpnyVY pic.twitter.com/KmDnizBuAp— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) March 25, 2025
Les indésirables ont, finalement, fui à l’arrivée des gendarmes, mais plusieurs jours après les faits, l’émoi reste grand, dans le petit village. « Ils sont venus pour provoquer, certainement pas pour s’amuser », rapporte l’un des basketteurs. Des auditions ont eu lieu dès le lundi 24 mars. La victime blessée à la tête, notamment, a été entendue et des vidéos ont été transmises aux forces de l’ordre afin de mieux cerner le profil des assaillants.
Des airs de Crépol
Impossible de ne pas relever de grandes similitudes entre cet événement et l’attaque du bal de Crépol, survenue dans la nuit du 18 au 19 novembre 2023 : une petite commune tranquille, une fête privée, l’arrivée soudaine d’une bande extérieure, des couteaux, des coups portés sans raison apparente… L'enquête confirmera ou non le parallèle. Une chose est certaine : si Val-d'Izé reproduit la dimension ethno-culturelle de Crépol, la Justice ne se pressera pas pour l’attester. Dans l’affaire de Crépol, un an et demi après le meurtre de Thomas, et alors que pas moins de neuf témoignages confirment l’existence de propos hostiles aux « Blancs », le caractère raciste de l’attaque n’a toujours pas été retenu par le parquet. Et cette semaine, encore, Éric Zemmour a été condamné à 9.000 euros d’amende pour avoir proposé une analyse du drame prenant en compte sa signification civilisationnelle. « Nous avons, aujourd’hui, une situation où nous avons deux peuples, deux France, deux jeunesses, celle de Thomas, celle de Chahid », avait déclaré le patron de Reconquête, le 30 novembre 2023, sur BFM-TV.
La justice décide de me condamner, car j'ai dit « Ce sont toujours les Thomas qui tombent et ce sont toujours les Chahid qui les tuent ».
Bien sûr, je ferai appel, car il est inadmissible que la vérité soit à ce point bâillonnée dans notre pays. Ce jugement est hautement…
— Eric Zemmour (@ZemmourEric) March 26, 2025
Les événements survenus le 22 mars dernier à Val-d'Izé s’inscrivent dans une tendance de fond. Un phénomène nouveau dont Crépol ne constitue que l’épisode le plus médiatisé. Après ce premier bal sanglant, il y a eu un autre bal attaqué à Murinais, en mai 2024, puis une fête de village perturbée à Fréjeville, dans le Tarn, au mois de juin suivant. À chaque fois, les tensions « communautaires » - comme on dit pudiquement – étaient au cœur des affrontements.
Aujourd’hui, le réveil est brutal, pour les habitants de la France rurale. Alors qu’ils pensaient être à l’abri, ils comprennent qu’ils sont désormais, eux aussi, les cibles d’une jeunesse violente et prédatrice.

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64 commentaires
Des évidences sont aujourd’hui niées par ceux qui sont pourtant chargés de les voir et les dénoncer… Pire, les quidams qui leur ouvrent les yeux sont sanctionnés !… Ainsi, Eric Zemmour est-il poursuivi en justice pour avoir dit haut et fort ce que tout le monde voit… sauf ceux qui sont payés pour ça !… On marche vraiment sur la tête ! Je comprends bien la prudence des enquêteurs qui évitent d’entendre les témoins de faits factuels, mais cette prudence devient complicité si elle bafoue le simple bon sens, et ça, ce n’est pas fait pour éloigner le trop fameux « sentiment » d’insécurité alors vanté par l’ancien Garde des Sceaux. Le citoyen n’en peut plus de ces dérobades qui visent à calmer les banlieues, mais qui détruisent la confiance qu’il pouvait encore avoir en sa justice. Jusqu’à quand allons-nous tolérer de telles aberrations ?
Les conséquences du regroupement familial de Giscard !! Vive la réussite de l’intégration
On parle toujours de Giscard (ou de Veil) mais leurs réformes on été amplifiées, détournées etc. par leurs successeurs…
Pour Macron, il est plus urgent de s’occuper du Dombass que de la racaille !
La Justice française est certainement très heureuse d’observer les évènements auxquels conduit son laxisme. A dorloter la délinquance , les voyous s’affirment. « Pour quelles raisons avoir peur de quelques travaux d’intérêt général qui nous permettront, s’ils sont imposés, de nous reposer sur notre manche de pelle ? » Justice arbitraire qui n’agit plus au nom du peuple mais au titre de son idéologie. Une justice soviétique qui conduit en prison ceux qu’elle veut bien désigner et non ceux en délinquance justifiée.
Cette bande venait très certainement tailler le saucisson. Elle en a été empêchée. Ce sont ces réfractaires du club, les délinquants, les empêcheurs de poinçonner de la viande.
Mélenchon et Macron , même combat, la main dans la main. L’un vocifère, attire les regards et oreilles de son coté, mobilise les attardés, ceux réfractaires à notre culture. L’autre, sournoisement, nourrit le sujet en accueillant en surnombre et se lave les mains des suites de cette charge . L’un aboie, rassemble, fomente, l’autre alimente, se justifie bras croisés, tourne le dos. La délinquance ne peut que se réjouir.
Au jour d’ hui le VAL D’ IZE hier CREPOL et des villages qui commencent à être submergés par une immigration incontrôlée .Ces gens sont vivent de nos impôts tout cela finira mal .Ce qui veut dire que le grand remplacement est en ordre de marche accélérée et à cause d’ une chose le nombre . j ‘ insiste et je signe si nous voulons renverser la table pour arrêter ce fléau pour que la france reste la france il faudra une grande alliance de toutes les droites patriotes souverainistes autrement nous disparaitrons après 2027 parce qu’ il sera trop tard
Vite, il faut missionner les auteurs « d’une nuit en France » pour enquêter !
Et ça continue, ce gouvernement macroniste parle beaucoup mais agit peu. Jusqu’où cette violence quotidienne va-t-elle aller?
Pour l’instant ces racailles ne se sont pas regroupées : quand elles le feront nous aurons un 7 octobre en France. La macronie et la gauche en seront responsables ET coupables
5 ou 6 gros bras à l’entrée de ces fêtes avec des manches de pioche et la sécurité sera assurée.
Il y a des années de ça, je m’occupais d’un club sportif dans la proche banlieue d’une petite préfecture de département.
Après deux années de bagarres incessantes dues aux racailles qui arrivaient des « quartiers », nous avons arrêté de prendre en charge l’organisation et la sécurité de la fête annuelle.
Vu les dégâts et les blessures récoltées, plus personne n’a repris le flambeau et il n’y a plus de fête dans notre village.
Et pendant ce temps là ?
Et bien pendant ce temps là, deux journalistes et une scénariste ont publié un bouquin, oh pardon, un torchon, qui tant à minimiser les actes criminels de Crépol.
Qu’est donc devenu ce pays, la France, où l' »on » est libre de pactiser avec des criminels, sans conséquence ?
Heureusement que dans le cas de Val-d’Izé les événements n’ont pu prendre une autre tournure que celles des proportions similaires à celles de Crépol, et au décès de Thomas.
Ce pays devient incontrôlable par la couardise de nombreux politiciens, à commencer par le premier d’entre eux !
Il n’y a que le gouvernement qui ne sait pas que nous avons chez nous une guerre civile, ou plutôt il ne veut pas le savoir. Vous vous imaginez en 2025 j’ai acheté à mon petit fils une protection en kelvar pour ses sorties en boite et aussi pour aller chercher les étudiants de son école qui n’osent plus rentrer seuls de la gare au campus, il fait partie d’une assos de l’école et à 2 ou 3 autres étudiants ils vont les chercher parce que certains se sont fait tout voler ordi et vêtements compris par des bandes qui font des razzias comme leurs ancêtres.
En appel, les avocats d’Eric Zemmour pourraient, en guise de plaidoirie, simplement énumérer la liste des faits divers relevés dans la PQR pendant le mois précédant l’audition. Le tribunal en serait lassé bien avant d’atteindre la moitié de la liste…
L’an dernier, j’avais communion solennelle, l’entrée de l’église était gardée par 3mecs équipés, ce n’est qu’à cette condition que quelques uns d’entre nous y sommes rendus sereinement. Politiques veules qu’avez vous fait de mon pays d’adoption ?
Mais si ces jeunes avaient des couteaux, c’était évidemment pour couper les saucisses et le poulet.