Vénissieux : sous pression islamiste, une boulangerie renonce à vendre du porc

quiche lorraine

Nouvelle illustration de l’échec du « vivre ensemble ». Vendredi dernier, à Vénissieux, la boulangerie La Verr'in Dallery Pittie a été le théâtre d’une violente altercation sur fond d’islamisme. Le patron de l’établissement en a fait le récit sur les réseaux sociaux : « Une de nos vendeuses a donné une quiche aux lardons à des personnes musulmanes en pensant que c’était au fromage. Si je ne suis pas là, je pense qu’ils la prennent par les cheveux et la défoncent. Je leur ai, bien sûr, remboursé, ils ont pris le billet et l'ont jeté à la vendeuse - "Qu’elle aille se laver la chatte avec". Ils voulaient tout brûler, tout casser. Pour calmer, on ne fait plus de jambon. Sinon, ils brûlent tout. »

Le gérant, Alexandre Dallery, est résigné. Sa décision est prise : il baissera définitivement le rideau dans deux mois. « Après les différentes pression depuis plusieurs mois pour faire du halal, je craque, je refuse que l’un de mes salariés ou moi même risque quoi que ce soit. […] On ne veut plus de nous, observe-t-il. Au revoir, vous avez gagné. »

Tiffany Joncour, député RN du Rhône, a publié un communiqué de presse, en réaction aux « pressions communautaires exercées par des islamistes sur les commerçants de la ville ». « Cet incident survient après des mois de pression exercée sur cette boulangerie. Ces commerçants, totalement démunis, sont donc contraints de fermer leur établissement prochainement et de ne plus vendre de porc dès aujourd’hui. » Dénonçant « le mutisme idéologique de la majorité municipale, connue pour sa proximité avec des mouvements islamistes tels que Millî Görüş », l’élue a décidé de saisir les services de la préfecture.

 

Vers une société charia-compatible

 

Cette boulangerie n’est pas la première à céder sous les coups de boutoir des islamistes. Au mois de mars dernier, à Paris, une restauratrice algérienne avait renoncé à vendre de l’alcool à la suite d’un raid numérique organisé par des musulmans très à cheval sur certaines interdictions coraniques. En 2020, à Quimper, un boucher français avait fermé boutique à la suite de plusieurs agressions. L’établissement avait rouvert deux ans plus tard, repris par une nouvelle famille, avec un étal toujours aussi bien achalandé, mais proposant dès lors une viande 100 % halal…

 

 

La stratégie est la même partout : imposer sa loi au plus grand nombre par la menace et la violence. Et ça marche. Dans les gazettes, on ne moque plus Mahomet par peur. Dans les collèges, on ne montre plus les caricatures du même « prophète » de peur d’être décapité. Dans les entreprises, on ne refoule plus les jeunes filles enturbannées de peur d’être menacé de mort sur les réseaux ou, plus simplement, par peur d'être taxé d'islamophobe. Surtout, ne pas « stigmatiser ». Dans les commerces, on ne vend plus de porc de peur d’être brûlé vif. De gré ou de force, notre pays devient chaque jour un peu plus charia-compatible.

 

La complicité des médias

 

Pendant ce temps, la plupart des médias ferment les yeux. Ce déni du réel est tel qu’il confine à la complicité, voire à la collaboration. Vendredi, au moment précis où la boulangère de Vénissieux était agressée en raison d’une quiche aux lardons, France Culture nous assurait que l’islamisation de notre pays n’était que le fruit pourri de notre imagination raciste. « Derrière le préjugé de "l'islamisation" de l'Europe se trouvent des stéréotypes anciens contre l’islam et les musulmans », affirmait, doctement, la radio publique.

Un simple préjugé ? Il faudra l’expliquer à Mila, aux enfants de Samuel Paty, aux employés de Charlie Hebdo ainsi qu’aux innombrables autres Français qui ont vécu dans leur chair les affres d’une société toujours plus « halalisée ». Bonne chance pour les convaincre que ce qu’ils ont subi est une vue de l’esprit.

Jean Kast
Jean Kast
Journaliste indépendant, culture et société

Vos commentaires

52 commentaires

  1. Les Français autochtones sont dèjà des Dhimmis. Il ne reste plus qu’à se convertir à l’idéologie coranique, ou a quitter le pays, mais pour ou ? Ils sont partout !! Pour ma part ils ne m’auront pas, je vais faire le nécessaire pour me défendre.

  2. J’ai un ami qui a travaillé dans une pâtisserie semi-industrielle implantée en région parisienne pendant plusieurs années ,eh bien, au fil du temps devant le changement de clientèle, la direction a décidé de supprimer l’alcool dans la composition des gâteaux, personne n’oblige un client dont la religion lui interdit de consommer de l’alcool à acheter une pâtisserie en contenant, alors pour qu’elle raison devrait on s’adapter à une certaine clientèle au prétexte de sa religion, allez commander une choucroute dans un restaurant de n’importe quel pays de confession islamique, je ne suis pas persuadé que l’on fasse le maximum pour vous satisfaire !

  3. Ils ne sont pas obligés d’en acheter ! C’est donc bien le « grand remplacement » EN MARCHE et même au trot….On ne peut être trahis que par les siens

  4. A Cagnes/Mer dans un grand centre commercial, dans un magasin d’une enseigne connue, à la caisse il y a une jeune fille noire totalement voilée (du coup je ne suis pas rentrée dans ce magasin). C’est inquiétant tout de même, les femmes qui ont tant lutter pour être libres, par la faute de ces femmes voilées notre liberté régresse de jour en jour. C’est vraiment très très inquiétant.

  5. Alors ,?! les Français non musulmans, vous allez continuer à vous laisser voler votre civilisation et vos libertés encore combien de temps ? Parce qu’à force de se soumettre comme des couards, vous êtes devenu des collabos, des traîtres à notre belle nation et à notre civilisation !
    Il va falloir réagir et vite !

    • Je suis entièrement d’accord avec vous, mais en premier lieu, c’est au gouvernement d’agir, or il s’avère qu’au lieu de s’opposer à l’islamisation de la France, il fait tout pour la favoriser .

      • Je pense qu’il faut s’occuper soit même de la question en montrant que l’on ne se laisse pas faire quitte à faire usage de moyens non conventionnels. Le gouvernement est une bande de rigolos pour ne pas dire autre chose .

  6. Est ce légal d’obtenir un commerce dans ces conditions ? Des avocats pourraient se pencher sur ce sujet et exiger des annulations avec effet rétroactif sur tous ces commerces. Dans quelles conditions ont ils été obtenus (argent de la drogue inclus) j’en connais quelques uns.

  7. Combien de temps tout ce cirque va t’il encore durer sans que le gouverne-ment intervienne? Ça suffit! S’il n’y a plus assez de places en prison qu’on les expulse! Qu’ils rentrent chez eux avec leurs coutumes et habitudes.

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