[L’ÉTÉ BV] Victoire de Nemo à l’Eurovision : après les bi et les trans, les xénogenres ?
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Tout l'été, BV vous propose de relire certains articles de l'année écoulée. Ici, des nouvelles de notre civilisation.
« Il n’a pas fallu longtemps pour que la victoire de Nemo, [heureux gagnant "bisexuel" de l'Eurovision] samedi soir, au 68e concours européen de la chanson, passe des considérations artistiques au champ politique », explique le magazine suisse Le Temps qui, en toute logique, pose cette question : « Un troisième genre va-t-il entrer dans le Code civil suisse ? »
Si, tout comme la Suisse, la France est un peu à la traîne dans ce domaine (contrairement à l'Allemagne, l'Australie, les Pays-Bas, les États-Unis et de nombreux autres pays qui reconnaissent le genre neutre), elle n'a, jusque-là, pas ménagé ses efforts pour faire plaisir aux minorités sexuelles : le pronom « iel » est entré dans le dictionnaire, l'usage de l'écriture inclusive se répand partout, des drag-queens portent la flamme olympique, le mois de juin est celui des fiertés, le 17 mai consacré à la lutte « contre l'homophobie et la transphobie à l'école » et les subventions aux associations LGBT (notamment venues de la mairie de Paris) coulent à flots.
Tout cela au nom du respect d'un sacro-saint principe d'autodétermination des individus qui confère à tous la liberté de se revendiquer dans le sexe que l'on se choisit en fonction de son ressenti (ou pas). Ainsi, ceux qui sont nés dans un corps masculin peuvent choisir de devenir femme, et inversement, tandis que d'autres ne veulent plus, à l'instar de Nemo, être assignés dans une de ces deux catégories, préférant se dire bisexuels ou gender fluid. Une revendication très sérieuse, si l'on en croit le magazine 20 Minutes pour qui « 13 % des 18-30 ans ne s’identifient pas comme hommes ou femmes ». Ces jeunes, pas orphelins pour autant, rejoignent - peut-être sans le savoir - la grande famille des xénogenres. Ce terme fourre-tout est né dans le cerveau d'un certain Baaphomet, pseudo sulfureux d'un utilisateur du réseau Tumblr.
Quelques xénogenres
« Les xénogenres (l'avenir de l'identité de genre) ont souvent l’impression de s’identifier quelque part au-delà ou en dehors du binaire de genre traditionnel. Et bien qu’il n’y ait pas de définition parfaite du xénogenre, c’est une partie croissante de la communauté LGBTQ que nous ne pouvons pas ignorer », précise le magazine Gayvox.
Pour bien comprendre de quoi il s'agit, il faut s'accrocher un peu et s'en référer au site Doctissimo selon lequel « le temps de l’attribution de son genre en se basant sur les caractéristiques sexuelles sont dépassées (sic) ». Il précise que « les frontières n’existent plus, une personne peut donc se définir via des éléments de la nature, de l’espace, du temps, des sentiments, des sensations ou encore des couleurs ».
Un concept qui ouvre un champ des possibles à l'infini ; une foultitude de « xénogenres » se bousculent au portillon. Parmi les plus étonnants : « les aliengenres ne se sentent pas humains », « les biogenres revendiquent un lien avec la nature », « les caelgenre avec des éléments du cosmos », « les daimogenres s'identifient aux démons », « les sorcières aux... sorcières » et les « sexe marins au genre marin ». À ne pas confondre avec les « otherkind », cette « communauté d'individus qui ne se considèrent pas comme humains mais plutôt comme anges, vampires, elfes, renards ou autres ». Certains d'entre eux se sont rendus célèbres à l'automne 2023 lorsque, manifestant en aboyant devant le Parlement européen, ils revendiquaient leur droit d'être chien.
Quand l'occident devient une fabrique à gens débiles...
Le "xenogenre", c'est se prendre pour un animal, alors que l'on est simplement un homme ou une femme.
Source tiktok : Davy Rodriguez pic.twitter.com/4RT6tqP3Nv
— Fred Marseille (@Fred_Marseille) July 25, 2023
Si un xénogenre renard rencontre un otherkin poule, ça se passe comment? pic.twitter.com/3ZKCuki5PC
— Kim Jong Un ᵖᵃʳᵒᵈⁱᵉ (@KimJongUnique) February 19, 2023
Des délires wokistes en tout genre plus qu'inquiétants
Tout cela est assez cocasse et nous pourrions en rester là. Mais la frontière est trop ténue entre revendications délirantes wokistes et tendances pathologiques chez certains individus qu'on ne soigne plus, sous prétexte de prosternation devant ce fameux droit à l'autodétermination. Une abstention coupable qui peut mener loin - à l'instar de ces jeunes trans qui veulent changer de sexe à coups de traitements médicaux -. Plusieurs blogs rapportent que certains « otherkind » « poussent à l’extrême leur désir de ressembler à l’être mythologique ou à l’animal auquel ils s’identifient. Par conséquent, ils subissent une chirurgie plastique pour modifier leur corps. Tous dans le but d’approcher l’apparence idéale de l’identité qu’ils ont adoptée. Ainsi, certains liment leurs dents pour qu’elles ressemblent à des crocs et d’autres dessinent le bout de leurs oreilles pour ressembler à un elfe. »
La femme du professeur Rolin vous explique comment ne plus faire d'erreur entre le xénogenre les otherkins les therian et puis les alter humains .... Simple non ?
Bizarrement elle parle d'autisme à la fin
C'est p'tet la la clef ?
pic.twitter.com/IwzMGFGPOO— Un Français Lambda perdu au Wokistan (@Francais2lambda) March 11, 2024
La victoire de Nemo ouvre la voie de revendications wokistes qui sont, en réalité, déclinables à l'infini et jusqu'à la folie. Sous prétexte de ne pas discriminer, chacun est tenu d'acquiescer au risque de se voir lourdement sanctionné, menacé et conspué sur les réseaux sociaux. Dora Moutot et Marguerite Stern, pour avoir dénoncé les dérives de l'idéologie transgenre, peuvent en témoigner.
69 commentaires
Au secours, le monde est devenu fou !
Comment construire une nation avec de tels individus ?
Les plus dangereux, les plus coupables aussi, ne sont pas les authentiques cinglés, délinquants ou criminels qui ne font que se mettre en adéquation avec leur nature, mais ceux qui prétendent disposer de la raison, ceux qui disposent d’un pouvoir pour contenir ou juguler ces folies, délits et crimes, et qui refusent de le faire, quand ils ne promeuvent pas eux-mêmes ces dérives par lâcheté ou par calcul.
Nous sommes en plein délire qui va nous emmener à la disparition du genre humain.
Les minorités,qu’elles soient sexuelles,sociétales et communautaristes ,téléguidées par toutes sortes d’instances ,occupent la place que leur offrent les médias mainstreams,acquis par idéologie dite progressiste à tous les délires venus d’outre Atlantique ,quand ils ne sont pas issus des cogitations dégénérées des élites qui se réunissent entre elles en comités restreints bien pensants,qui se font alors oligarchie devenue ploutocratie arrogante.Mais vu sa façon récurrente de voter,ça plait bien au troupeau électoral qui n’a eu de cesse d’élire et réélire ceux qui finalement,sous influence souvent extra nationale,se font alors souvent agent exécutifs zélés de ce qui est décidé ailleurs ,dans toutes sortes de cercles de décision.
C’est officiel ; il ne souffle plus guère qu’un vaste courant d’air entre les deux oreilles d’une grande partie de la population !
Pathétique et affligeant ! Le genre humain en perdition.
« La victoire de Nemo ouvre la voie de revendications wokistes qui sont, en réalité, déclinables à l’infini et jusqu’à la folie. » Bien dit et on devrait en rester là. Ces individus, qui représentent 0.3% de la population mais occupent 100 % de la sphère médiatique, ne méritent même pas un soupir.
Quand la CHARIA sera appliquée dans quelques années dans notre pays ,ce qui est en route depuis 30 ans et qui obligatoirement arrivera par la loi des chiffres , que vont devenir ces « nouveaux genres » ??? Inquiétude !!!
Je me demande si ces gens ont des activités professionnelles respectables. Il faut bien, tout de même, qu’ils gagnent leurs vies ! Ah, si, ! Ils ont de l’avenir dans le cirque, ou le spectacle, afin d’exposer leurs bizarreries. Et tout cela, aux frais du contribuable, car ils sont forcement des intermittents du spectacle..et on va nous dire que cela fait partie de la culture….
Il n’y à que deux genres, lui va chez l’urologue, elle va chez le gynécologue et tout le reste va chez le psychiatre !
Humm : et quid de tous ces médecins ( enfin : personnes qui ont a priori fait des études de médecine, pour le fric et l’amusement des expérimentations sur grenouilles..) qui, non seulement approuvent, mais charcutent ?
Les coupables ce sont les médias qui donnent audience pour faire caisse de résonance à ces minorités décadentes. L’immense majorité des citoyens est révulsée par ces malades, il suffit d’en parler autours de vous et vous en serez convaincus ! Nous sommes dans une démocratie entièrement gouvernée par des minorités qui sont promotionnées par ces médias porteurs de ce qu’ils pensent être la tolérance, mais dans les faits, il font la promotion de cette décadence qui désormais gangrène nos sociétés occidentales et tue notre image aux yeux du reste du monde.
Les « xénogenres » ne sont pas nouveaux, on les avait simplement oubliés. Ils ont toujours existé et on en trouve de nombreux exemples dans les asiles psychiatriques. La seule différence est que, contrairement à ce qu’on croyait auparavant, ils sont tout à fait normaux. On va donc pouvoir les libérer et enfermer tous les autres, c’est à dire les hétéros et tous ceux qu’on considérait normaux jusqu’à présent.
Détournons nous de toutes ces imbécilités sans avenir (j’en suis persuadé, c’est un effet de mode). Je ne crois pas que leur donner de la visibilité soit une bonne façon de faire. L’eurovision pâlit à cause de sa perte de qualité ? Dont acte, passons à autre chose.
Que chacun se sente ce qu’il veut, c’est son problème et sa vie privée. Les écolos ne pourront être que d’accord pour dire qu’on naît soit avec un sexe masculin, soit avec un sexe féminin (oh, pardon, il y a aussi les limaces qui sont hermaphrodites …). Dans l’absolue, chacun se prend pour ce qu’il veut (il paraît que certains promènent leur brosse à dents en laisse pensant que c’est un chien …), mais cela n’engage en rien la société. Donc, chacun vit sa vie privée comme il est veut, c’est la liberté, mais à condition toutefois de ne pas enquiquiner les autres, de ne pas vouloir imposer ses désirs à toute une société et, surtout, de ne pas endoctriner notre jeunesse. De plus, l’argent public n’a pas à servir à combler les lubies ou les caprices de chacun. Il n’est donc pas normal que l’argent public serve à engraisser des associations LGTBQ…, drakqueens, de mangeurs de saucisson, de naturistes, de décrocheurs de lune, etc. Ou alors, u nom de la justice et de l’égalité, on finance les caprices de tout un chacun a. Et là, on n’a pas fini de financer tout et n’importe quoi !