[Vidéo] Un prof à abattre

30 commentaires

1. En connaissant la région, l’établissement est facilement reconnaissable. Même les établissement catholique se soumettent à la doxa islamo-gauchiste ! C’est un scandale. L’évèque d’Angers est minable en ne soutenant pas cet enseignant. Les catholiques sont-ils acceptés dans une école musulmane ? Non ! Les catholiques sont-ils acceptés dans une école juive ? Non ! Un, parce qu’ils ne souhaitent pas y aller et, deux, car ils y seraient refusés.
   Le p’tit gars qui a déposé plainte aurait du aller au lycée technique d’Angers. Là bas, il aurait peut-être moins baigné dans une ambiance de charité chrétienne.

2. Grâce à Boulevard Voltaire, j’apprends la situation de Monsieur Frédéric Mortier, suspendu depuis décembre 2021, suite à la plainte d’un élève à propos d’une plaisanterie mal interprétée. Comment la situation a-t-elle pu en arriver à un procès, déjà remis en mai 2022, de nouveau reporté ce 10 février 2023 : combien de temps devra-t-il attendre encore ? . Sa carrière dénote un engagement sans faille aux côtés des élèves les plus faibles. Ma compassion lui est acquise, ainsi qu’à sa famille. Décidément il y a vraiment quelque chose de pourri dans l’école de France.

3. Lu sur Causeur : « Pour citer Salman Rushdie lui-même : « un mot a été inventé pour permettre aux aveugles de demeurer aveugles : l’islamophobie. » Et il ajoute, refusant à raison toute assimilation de la critique de l’islam à du racisme : « l’islam n’est pas une race et l’idéologie n’est pas une catégorie ethnique » … »

4. Ce que vit ce professeur n’a rien d’extraordinaire dans la France d’aujourd’hui… Une sombre stratégie est en effet menée contre la liberté d’expression et vise à ruiner celles-zé-ceux qui usent « trop librement » de leur liberté de parole. Qu’il s’agisse de caricatures, de blagues ou de faits avérés, ceux qui sortent du chemin (!) sont traduits en justice et entrent dans l’engrenage judiciaire qui les ruine, car eux ne sont pas subventionnés comme les associations qui les harcèlent. C’est cousu de fil blanc, mais ça marche à tous les coups !… Le pays est saturé de plaintes religio-ethnico-raciales que les médias (aux ordres de qui ?) se plaisent à gonfler. Les provocations se multiplient et ne laissent aucune place au déroulement normal de la vie démocratique. Le développement du pays est ainsi arrêté et la régression s’installe dans une société dans laquelle on ne parle plus « que de ça »… Comme par hasard, c’est justement ce que veut cette stratégie de saturation. A bon entendeur…

5. Cette histoire est tout simplement INSUPPORTABLE .

   Ancienne enseignante j’ai vraiment du mal à comprendre ce qui se passe dans les écoles de nos jours !!! ??

6. Je soutiens totalement ce professeur, il aurait pu commencer par cerner les pays dictatoriaux les comparant avec la démocratie; que là où il y a de la dictature, le peuple n’est pas libre de ses gestes ou opinions. Les pays musulmans oppriment leurs peuples en les soumettants à la charria, ceux qui ne sont pas musulmans doivent se convertir où ils seront chassés ou tués. En France nous accueillons tous ceux qui viennent à condition de s’intégrer aux valeurs de la république et parler français. Ceux qui ne respectent rien ne sont pas les bienvenus, une enquête sera faite et ils rejoindront l’OQTF dans les plus brefs délais. C’est clair et sans équivoque. Je suis Samuel PATY et Charlie Hebdo.

7. Nous vivons un peu comme si nous étions en Pays Occupé. Enfin c’est ma sensation, mon ressenti. Il n’y a plus les bruits de bottes, mais de voiles ici et là, et d’abaya, des centaines de lieux de La république où il ne vaut mieux pas que j’ai à l’idée d’aller trainer mes sandales….Mais surtout l’humour français, la dérision, l’esprit de Voltaire, on le rencontre de moins en moins, sauf sur certains plateaux TV mais surtout quand ça plait au Pouvoir en place….

   • Papang
     « Nous vivons un peu comme si nous étions en Pays Occupé »
     Vous pouvez enlever le « un peu »
     Nous sommes occupés par une religion d’amour et par diverses minorités qui ont systématiquement le dernier mot.
     Le niveau intellectuel moyen dégringolant, les gens n’ont pas la capacité de raisonner au second degré ou d’avoir la distance nécessaire qui leur permettrait de prendre des distances face à certaines choses.

8. On est tombé dans le grand n’importe quoi avec une judiciarisation poussée à l’extrême. Une partie de la jeunesse est tellement formatée à l’antiracisme primaire qu’ils sont donc aux aguets et en embuscade à la moindre « incartade ». On a l’impression de se retrouver à l’époque de la révolution culturelle de Mao ou des comités de salut public de la Révolution ou de l’époque bolchévique. De tels propos tenus il y a 40 ans n’auraient jamais été relayés publiquement, l’étudiant concerné aurait soit fait un bras d’honneur (en douce) à l’enseignant soit lui aurait répondu avec humour du style « Monsieur je préfère que ce soit vous qui deveniez musulman ». On en serait resté là, l’enseignant aurait peut-être rigolé et on serait passé à la chose suivante. En fait ce qu’on observe actuellement ce n’est ni plus ni moins que du fascisme intellectuel

9. Une bien triste affaire, incompréhensible dans un pays civilisé et tolérant comme le nôtre.

10. Situation classique. Le musulman a la sensibilité épidermique tandis que nous autres devons tout subir, tout supporter, y compris les insultes, le drapeau brûlé, les statues déboulonnées et j’en passe. Tout ça est intenable. Je suis excédée.

11. L’humour, la répartie font partie de l’esprit français, que l’on cherche à faire taire. Une violente censure, voulue par les officines officielles, d’État, s’abat sur le pays. Heureusement qu’il nous reste Gaspard Proust, sans doute arrière-arrière-petit-fils de l’écrivain, du moins en esprit, mais pour combien de temps encore ? En tout cas soutien aux humoristes, contre les gens trop sérieux, trop coincés, contre les censeurs pisse vinaigre ou, pisse froid comme dirait Rabelais.

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