[VIVE LA FRANCE] Une formation d’excellence au service de l’espérance

© Puy du Fou
© Puy du Fou

Écarté du pass Culture, méprisé par une gauche bien-pensante qui le traite de « plouc », le Puy du Fou n’en finit pas de faire parler de lui, mais trace son sillon avec pour seul objectif celui de « montrer la grandeur de l’être humain », en portant des œuvres inspirées du légendaire français pour célébrer ce patrimoine commun, et pour qu’« à la fin de ce voyage dans le temps et dans l'Histoire de France, les spectateurs aient le sentiment de former un seul peuple. Telle est notre vocation », nous confiait Nicolas de Villiers.

Et parmi les nombreuses œuvres nées au Puy du Fou, il en est une qui, plutôt que d’envoyer la jeunesse française à des concerts de L’Huma, les invite à s'élever et à fréquenter les plus beaux chefs-d’œuvre par une approche culturelle et artistique autour de la littérature, de la musique, de l’histoire, des sciences et des fondements de la civilisation française. Il s’agit bien évidemment de Puy du Fou Académie, cet établissement scolaire qui fête ses dix ans, cette année, et qui accueille 450 élèves, de la maternelle au lycée.

« Je peux dormir tranquille ce soir, l’avenir est assuré »

L’une des spécificités de cette formation d’excellence réside en l’initiation des élèves aux disciplines artistiques : théâtre, danse, équitation, combat, cascade. Voulant à leur tour célébrer la réouverture de Notre-Dame de Paris, les élèves et leurs professeurs ont donc proposé Notre-Dame des Cœurs Ardents, un spectacle de haute qualité, les 17 et 18 janvier, sur la très belle scène du Cinématographe du Puy du Fou. À cette occasion, le spectateur assistait, émerveillé, à la naissance de la petite sœur de la Cinéscénie. L'histoire : en 1832, dans une ferme de Vendée, Pierre et Jeanne découvrent le roman de Victor Hugo Notre-Dame de Paris. Éblouis par ce récit, inquiets pour l’avenir de l’édifice menacé de destruction, ils font le serment de tout quitter pour restaurer la cathédrale. Dans un Paris étourdissant, encore marqué par les cicatrices de la Révolution, les deux héros auront à cœur de tenir leur engagement pour sauver la beauté enfouie sous les cendres de la violence et des divisions.

 

 

En préambule à ce spectacle, François Roucher, directeur de Puy du Fou Académie, précise que cette année, son établissement a « choisi le Beau pour thème » et que « sur scène, il sera question de l’influence qu’un livre peut avoir sur une vie, de l’Espérance nécessaire aux plus hautes entreprises, du cœur que l’on met à l’ouvrage. Il sera question de volonté, de dévouement, de courage et de transmission. » À l’issue de la représentation, la salle est debout pour une ovation et entonne le célèbre hymne du Puy du Fou, faisant battre à l’unisson ce double cœur vendéen.

Nicolas de Villiers monte aussi sur scène pour féliciter les jeunes acteurs, danseurs et cascadeurs qui n’ont plus rien d’amateurs : « Je voudrais vous remercier du fond du cœur, c’est une fierté d’être à vos côtés, jour après jour, et vous êtes tout simplement vraiment formidables. [...] Je venais voir un spectacle d’école et on a vu un spectacle digne du Puy du Fou ! Vous nous avez fait pleurer. [...] Vous avez été dignes par votre excellence et votre niveau d’exigence. [...] Le vrai rôle de l’artiste, c’est sans doute de faire passer un message par l’émotion, et vous avez provoqué cette émotion. »

En ces temps divisés, voilà de quoi se mettre à la bonne hauteur et laisser ainsi de côté ce petit microcosme de grincheux germanopratins baver sur les « ploucs » et les « beaufs » et appeler à la déconstruction de notre Histoire. Pendant que ce monde-là se perd en conjectures et court à sa perte, de l’autre côté du périph’, il est une génération qui se hisse, moins tapageuse mais plus talentueuse, qui patiemment et avec exigence se forme avec la ferme espérance de relever la France.

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Iris Bridier
Journaliste à BV

Vos commentaires

22 commentaires

  1. J’ai plutôt l’impression que les ploucs ce sont ces décérébrés prétentieux et imbus de leur personne, convaincus qu’eux seuls sont cultivés et toujours dans le vrai. Ce qui n’est pas normal, c’est que ces incompétents, déculturés ont pignon sur rue et interviennent dans les médias du service public, payés par le contribuable spolié comme toute cette bande d’humoristes ou de philosophes autoproclamés. Leur nullité est probablement exacerbée par le fait qu’eux n’ont pas besoin de faire d’audience puisque le plus ce contribuable les paye, contraint et forcé par une bande de décideurs qui n’en n’ont rien à faire de la démocratie.

  2. Etre beau-frère est, en effet, un état…mais généralement du à des circonstances indépendante de notre volonté…Quant au plouc, alias bouseux, il est, n’en déplaise, d’essence éternelle et a longtemps peuplé nos campagnes nourricières, ce que la prétendument cultivée et autoproclamée élite germanopratine ne devrait pas oublier…avant de se rendre dans son « Mcdo » préféré, temple, comme chacun le sait, de la plus fine des gastronomies…Le Puy du Fou et ses « ploucs » ou beaufs », tournés vers le monde, qu’est, faut-il le souligner, loin de représenter notre « gôche » nationale, seraient bien inspirés de continuer sur la voie de l’excellence, celle qui déplaît tant aux médiocres !

  3. Les ploucs et les beaufs sont ceux qui ne comprennent pas le brillantissime succès du Puy du Fou et qui se réfugient dans l’injure gratuite.
    Entre la décadence minable des spectacles de l’ouverture des JO et la magie du Puy du Fou personne ne s’y trompe à part les gaucho-wokistes.

  4. Merci Monsieur De Villiers , vous êtes le digne successeur de votre père .
    Aujourd’hui la gauche française vous jette la pierre, cette gauche n’a dans les faits qu’un reflex de survie , car elle sent sa fin arriver à grands pas. Elle ne veut pas le voir, elle ne veut pas le croire , mais le vent tourne

  5. Le Puy du Fou n’est pas un parc d’attraction mais un théâtre d’excellence à ciel ouvert , les enfants qui y ont assisté n’oublierons pas les petites parties d’ histoire de la France ! les jaloux gauchos qui critiquent tout et tout le monde ( allez ! à la fête de l’Huma pour conforter votre haine de la France , écouter les déviances racistes et honteuses et meurtrières de l’acteur Weber devenu sénile dans ses propos qu’il jugent exactes !
    Messieurs de Villiers continuez votre oeuvre d’excellence , continuez de raconter l’Histoire de France avec vos vrais Artistes , ils sont bénévoles mais ils sont la perfection et pourtant ils ne seront jamais invités à l’Elysée !!!

  6. Le Puy du Fou offre des spectacles magnifiques, le parc est complet tous les jours d’ouverture. Et les gauchos jaloux ne savent plus quoi dire à part insulter les millions des personnes qui ont acheté un billet d’entrée. On peut remercier la famille De Villiers et ces artistes pour ce qu’ils font !

  7. Rappelons nous que le Puy du Fou a commencé et grandi dans la qualité grâce aux bénévoles apportant une qualité dénuè d’intérêts. A présent admirer dans le monde entier dont les visiteurs s’y précipitent supprimer le Pass Culturel par le gouvernement c’est la preuve que l’objectif du gouvernement a l’instar de l’économiste Pierre Rondeau c’est surtout ne pas faire grandir la France, là par son secteur culturel qu’économie.

  8. N(oublions pas le puy du fou a commencé grâce a des bénévoles qui n’avaient que hâte de continuer d’années en années et ont assurés une grande qualité car sans intérêts de gains. Les critiques de gens que nous avons pu entendre n’élèvent pas intellectuellement leurs auteurs pareil au choix du gouvernement de ne pas donner accès au Puy du Fou par le Pass-Culture, c’est dire que la France s’éloigne vraiment du siècle des lumières qui la faisait rayonner dans le monde.

  9. le Puy du Fou fait des entrées phénoménales et il s’améliore d’année en année, ce sont de magnifiques spectacles à montrer aux petits comme aux grands, merci à la famille De Villiers et à tous ces artistes et bénévoles qui le font vivre et nous mettre des paillettes dans les yeux.

  10. C’est au travers de tels exemples que l’espoir d’une France éternelle ne se perd pas. Un grand merci à tous ceux qui, plutôt que se morfondre font preuve d’initiative pour que notre jeunesse puisse bénéficier d’une excellente formation.

  11. Je suis loin de Vendée, je suis jurassien, franc-comtois donc. Ca nous rapproche,non, amis vendéens ! Aussi, quand les bobos parisiens nous traitent de « ploucs », c’est un honneur. On est de notre terre, de chez nous. On est de France, pas de nulle part. C’est ça d’ailleurs qui les fait le plus enrager.

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