[VOTRE AVIS] Élection de Trump : les lecteurs de BV ne s’étaient pas trompés !

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Cet article vous avait peut-être échappé. Nous vous proposons de le lire ou de le relire.
Cet article a été publié le 02/11/2024.

Le 5 novembre prochain, les Américains vont-ils élire la première présidente de leur Histoire, avec Kamala Harris ? Ou bien Donald Trump va-t-il réussir à reconquérir la Maison-Blanche ? Si tel est le cas, il serait le deuxième président de toute l'Histoire des États-Unis à être élu deux fois de façon non consécutive, après le président démocrate Grover Cleveland (1833-1901) qui, en 1892, avait pris sa revanche sur le président sortant républicain Benjamin Harrison, qui l'avait battu en 1888 ! Selon les derniers sondages, Kamala Harris aurait une très courte avance sur Donald Trump mais, compte tenu du mode de scrutin, cette avance n'est pas déterminante. Alors...

Une fois n'est pas coutume, nous avons clôturé notre question de la semaine, ce mercredi soir. Et pour cause ! À 85 %, les lecteurs de BV qui ont répondu à notre question étaient donc convaincus de l'élection de Donald Trump. À samedi, pour notre rubrique « Votre avis ».

Votre choix :
Ne se prononce pas
8%
211
OUI
85%
2283
NON
7%
200

 

Pour consulter les résultats de notre question de la semaine précédente (Faut-il faire payer l’entrée de Notre-Dame ?), cliquer ici.

Cet article a été mis à jour pour la dernière fois le 09/11/2024 à 17:49.

Vos commentaires

56 commentaires

  1. Mon commentaire du premier novembre 2024 :
    L’ancien président Donald Trump semble en bonne voie pour retrouver le Bureau ovale, avec une projection de 272 voix électorales face à la candidate démocrate Kamala Harris, qui en obtiendrait 266. Cette prévision, réalisée par un supercalculateur IA de Sports Casting, analyse les tendances électorales de chaque État en vue des élections de novembre 2024, mettant en lumière un basculement significatif dans plusieurs États-clés.
    Les points marquants de la prédiction
    Selon les données de l’IA, Trump bénéficierait du revirement de plusieurs États décisifs par rapport à 2020, dont la Géorgie, le Wisconsin et l’Arizona, qui avaient voté démocrate lors des élections précédentes. Parmi les sept États traditionnellement indécis, Trump en remporterait quatre, consolidant sa majorité dans le collège électoral.
    Donald Trump : 272 votes électoraux
    Kamala Harris : 266 votes électoraux
    États ayant changé de couleur en faveur des Républicains : Géorgie, Wisconsin, et Arizona.
    Les États soutenant Donald Trump
    Donald Trump consoliderait son avance dans des bastions traditionnels républicains comme la Floride (30 votes), le Texas (40 votes) et l’Ohio (17 votes), mais aussi dans des États qui étaient autrefois incertains. Le retournement de la Géorgie, du Wisconsin et de l’Arizona représente une victoire stratégique pour la campagne de Trump, orientée autour des thèmes de la sécurité nationale et de la revitalisation économique. Les 272 votes remportés par Trump lui assureraient un retour au pouvoir.
    Les États soutenant Kamala Harris
    Kamala Harris remporterait des États historiquement acquis aux démocrates comme la Californie (54 votes) et New York (28 votes), mais aussi d’autres États-clés tels que le Michigan et le Nevada. Ces soutiens seraient cependant insuffisants pour contrer l’avance de Trump dans les États décisifs.
    États basculant vers les républicains en 2024
    Géorgie : Avec une stratégie centrée sur la sécurité publique, Trump capterait l’attention des électeurs de Géorgie, remportant 16 voix électorales dans cet État autrefois partagé.
    Wisconsin : Les efforts de Trump pour mobiliser les électeurs ruraux lui rapporteraient une majorité, renforçant sa position dans ce champ de bataille crucial.
    Arizona : La campagne de Trump, qui a su attirer les électeurs de banlieue, obtiendrait les 11 voix électorales de l’Arizona, scellant un retournement déterminant.
    Le supercalculateur s’attend à un vote anticipé massif dans les États-clés, montrant une tendance favorable aux républicains. Le 5 novembre 2024, alors que les Américains attendent les résultats, les sondages montrent un soutien croissant pour Trump dans les banlieues et les zones rurales, où sa campagne a concentré ses efforts. En Arizona, par exemple, les électeurs se tournent vers Trump, lui accordant une nette avance sur Harris. La Géorgie, poussée par le thème de la loi et de l’ordre, suit la même trajectoire, en apportant 16 voix électorales à l’ancien président.
    Je ne retire pas un mot à mon commentaire du premier novembre 2024 .

  2. On sait qu’il y a bien des manières de manipuler un sondage , choix des personnes interrogées , choix des questions .
    Il y avait d’une part le vote caché , aux Etats Unis comme en France , les électeurs des partis dits populistes de droite , cachent leurs intentions de vote lorsqu’ils sont diplômés et ont des emplois de cadres dans l’administration et dans le privé .
    Et , d’autre part , le pot explosif provenant de décennies de culture obligatoire de gauche , mondialisation , suppression des front!ères , immigration sans entrave , accueil et soumission aux cultures étrangères, avec une dévaluation de la culture occidentale , une repentance sans limite sur notre passé , une identité occidentale honteuse et proscrite .
    Et enfin la dictature des minorités face à une majorité qui doit s’écraser .

  3. Quand on sait comment peuvent être faits les sondages dans la rue… « l’enquêteur » pouvant choisir le profil de l’apparence du passant avant de l’interroger… Sans oublier que l’avis de mille personnes enquêtées seraient censées représenter la pensée du peuple de France …

    • Détrompez vous, ca ne se passe pas comme ca du tout…de l’extérieur c’est sans doute l’impression que ca donne mais les enquêteurs ne « choisissent » pas le profil des interviewés comme ca leur chante…ils sont tenus impérativement à des quotas par catégories , sexe, âge, profession, etc…répartis sur différentes villes et par taille etc… Au début du sondage ils choisissent le tout venant sensé rentrer dans les quotas(âge, sexe) mais ensuite les choses deviennent plus compliquées car ils devront chercher pour trouver les personnes correspondant aux quotas qui leur manquent pour que l’étude soit représentative de la population. Seul « hic » rien ne prouve que les interviewés sont sincères…et pour les enquêtes politiques c’est délicat, car ils devront donner leurs coordonnées (tout du moins un N° de tel) pour permettre un éventuel contrôle du responsable de terrain qui pourrait vouloir vérifier si l’enquêteur n’a pas fait un questionnaire « bidon »… J’ai pratiqué ce métier durant des années, maintenant retraitée mais je ne pense pas que cela a changé.

  4. Bravo à BV avait anticipé cette victoire et les conséquences pour la France et l’Europe. Cf. Henri Temple 30 octobre 2024 Les plans de Trump en matière de politique étrangère bousculeraient le statu quo européen.

    • bien sûr, la plupart de ces instituts de sondage interrogent des échantillons à quotas et ces quotas ne respectent pas la répartition réelle de la population entre indépendants, démocrates et républicains. Les sympathisants démocrates y sont sur-représentés.

  5. J’espère que Donald Trump va gagner ! Je l’espère et je le souhaite vivement ! Amitiés à tous Hervé de Néoules !

  6. Les adversaires de Trump sont bien trop puissants financièrement. En France il n’est même pas certain que Trump égalerait Marine Le Pen. Il serait étranglé par « une gauche » dépendante du Grand Profit malgré son discours socialisant. L’affrontement est fondamentalement le même: Le Profit de quelques uns, qui en outre se croient « éclairés », contre les peuples, pauvres et idiots.

  7. Kamala Harris représente le « wokisme ». Aussi, son échec signerait un coup de frein dans ce mouvement désastreux pour l’occident. Rien que pour ça j’ose espérer que Trump regagne la Maison Blanche.

  8. Donald TRUMP Président : Le seul capable de sauver l’Europe de l’immigration qui va nous détruire. Actuellement aucun dirigeant européen est capable d’arrêter l’invasion islamiste. Un autre danger plus important la coalition Chinoise avec l’Inde, la Russie, l’Afrique du sud, l’Amérique du sud, qui va contrôler l’économie mondiale prochainement. Nos constructeurs Européen vont disparaître, actuellement la Chine nous envahit avec les voitures électriques, financées avec les 120 millions d’€ de M. Macron. M. Macron est très généreux avec l’argent des Français. Le gouvernement n’ayant pas de solution pour arrêter l’invasion islamiste et la drogue. Une solution radicale, comme François Mitterrand en 1957 remettre en route la guillotine.

  9. Je ne me prononce pas tout en souhaitant ardemment la victoire de Trump mais je me méfie terriblement de la machine à tricher des democrasseux , ils nous en ont donné la preuve en 2020 .

  10. Si Kamala Harris était une Golda Meir, une Margareth Thatcher ou même seulement une vraie femme politique et non une licorne arc-en-ciel, son élection «démocratique» serait possible. Le résultat sera très indicatif de l’état dans lequel se trouve l’Occident. Un raz-de-marée pour Trump serait plus unificateur des USA qu’une mince victoire démocrate. Mais les amis d’Epstein et des élections truquées de 2020 craignent davantage Trump qu’une troisième guerre mondiale. C’est dire.

  11. L’ancien président Donald Trump semble en bonne voie pour retrouver le Bureau ovale, avec une projection de 272 voix électorales face à la candidate démocrate Kamala Harris, qui en obtiendrait 266. Cette prévision, réalisée par un supercalculateur IA de Sports Casting, analyse les tendances électorales de chaque État en vue des élections de novembre 2024, mettant en lumière un basculement significatif dans plusieurs États-clés.
    Selon les données de l’IA, Trump bénéficierait du revirement de plusieurs États décisifs par rapport à 2020, dont la Géorgie, le Wisconsin et l’Arizona, qui avaient voté démocrate lors des élections précédentes. Parmi les sept États traditionnellement indécis, Trump en remporterait quatre, consolidant sa majorité dans le collège électoral.
    Donald Trump : 272 votes électoraux
    Kamala Harris : 266 votes électoraux
    États ayant changé de couleur en faveur des Républicains : Géorgie, Wisconsin, et Arizona
    Donald Trump consoliderait son avance dans des bastions traditionnels républicains comme la Floride (30 votes), le Texas (40 votes) et l’Ohio (17 votes), mais aussi dans des États qui étaient autrefois incertains. Le retournement de la Géorgie, du Wisconsin et de l’Arizona représente une victoire stratégique pour la campagne de Trump, orientée autour des thèmes de la sécurité nationale et de la revitalisation économique. Les 272 votes remportés par Trump lui assureraient un retour au pouvoir.
    Kamala Harris remporterait des États historiquement acquis aux démocrates comme la Californie (54 votes) et New York (28 votes), mais aussi d’autres États-clés tels que le Michigan et le Nevada. Ces soutiens seraient cependant insuffisants pour contrer l’avance de Trump dans les États décisifs.
    États basculant vers les républicains en 2024:
    Géorgie : Avec une stratégie centrée sur la sécurité publique, Trump capterait l’attention des électeurs de Géorgie, remportant 16 voix électorales dans cet État autrefois partagé.
    Wisconsin : Les efforts de Trump pour mobiliser les électeurs ruraux lui rapporteraient une majorité, renforçant sa position dans ce champ de bataille crucial.
    Arizona : La campagne de Trump, qui a su attirer les électeurs de banlieue, obtiendrait les 11 voix électorales de l’Arizona, scellant un retournement déterminant.
    Le supercalculateur s’attend à un vote anticipé massif dans les États-clés, montrant une tendance favorable aux républicains. Le 5 novembre 2024, alors que les Américains attendent les résultats, les sondages montrent un soutien croissant pour Trump dans les banlieues et les zones rurales, où sa campagne a concentré ses efforts. En Arizona, par exemple, les électeurs se tournent vers Trump, lui accordant une nette avance sur Harris. La Géorgie, poussée par le thème de la loi et de l’ordre, suit la même trajectoire, en apportant 16 voix électorales à l’ancien président.

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