What is a woman ? : un documentaire édifiant sur les transitions de genre

Pour son documentaire, où il dénonce la propagande LGBT des GAFA et des médias mainstream sur cette contagion sociétale, Walsh a reçu des menaces de mort, preuve de la tolérance à la contradiction de la gauche mentale.
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L’imposture de l’idéologie du genre mise à nu par les imposteurs eux-mêmes ! Le coupable, Matt Walsh, démonte dans un édifiant documentaire la tartuferie immanente de cette idéologie progressiste, le tout sur base d’une simple question : qu’est-ce qu’une femme ? What is a woman?

Matt Walsh est un animateur de talk-show, marié, père de quatre enfants, auteur de nombreux ouvrages, conférencier, chroniqueur sur le site The Daily Wire et considéré, à l’instar de ses acolytes Ben Shapiro et Candace Owens, comme l'une des voix les plus influentes de la droite conservatrice américaine. Parmi ses ouvrages, Church of Cowards: A Wake-Up Call to Complacent Christians, on trouve une défense sans compromission des chrétiens du Moyen-Orient, d'Asie et d'Afrique persécutés pour leur foi, et une critique acerbe à l’égard des Américains complaisants et peu enclins à « abandonner leur smartphone, voire leur vie », pour sauver leurs coreligionnaires. Son livre illustré pour enfants, Johnny the Walrus [le morse, NDLR], est un best-seller sur les dangers de la théorie du genre qui trace avec subtilité la frontière entre le fantasme et la réalité.

What is a woman?, sorti au début du mois de juin, « mois de la fierté LGBT », est déjà devenu « l'événement de diffusion en direct générant le plus de trafic de l'histoire du Daily Wire ». Walsh y rencontre des activistes trans, féministes, des experts en transition de genre, discute entres autres avec une chirurgienne spécialisée dans la « réaffectation du genre », deux femmes pédiatres, l’une aux cheveux bleus, l’autre qui se définit homme, une « thérapeute en affirmation de genre », un trans-espèce qui s’identifie partiellement comme un loup, mais aussi les membres d’une tribu Massaï en Afrique et le psychologue Jordan Peterson : ce psy qui affole les féministes et quelques autres.

Au cours de ces entretiens, Walsh est flegmatique, courtois, avenant par ses questions candides et dénuées de toute agressivité, à tel point qu’on le croirait du même bord que son interlocuteur, mis en confiance. Au fur et à mesure de la discussion surviennent les questions qui fâchent, sur l’utilisation des bloqueurs de puberté dits « réversibles », substances administrées également dans le cadre de la castration chimique d’agresseurs sexuels, les mutilations génitales, les mastectomies bilatérales chez les adolescentes, la défense des femmes mal à l’aise de devoir subir la vue de pénis dans les toilettes publiques pour femme « biologiques », j’en passe et des meilleures. Là, souvent, les interlocuteurs arrêtent le débat, incapables, sous leur façade a priori bienveillante, d’argumenter sur la base de faits, de la réalité, loin de leurs délires idéologiques, mais aussi lorsque la question récurrente est soulevée : qu’est-ce qu’une femme ? Incapables de fournir une réponse crédible, souvent circulaire, ils hésitent, changent de sujet, puis se soustraient définitivement à la discussion.

Pour son documentaire, où il dénonce la propagande LGBT des GAFA, les médias mainstream et l’influence morbide des réseaux sociaux sur cette contagion sociétale, mais également les lobbys pharmaceutiques quand une seule transition génère en moyenne 1,3 millions de dollars de revenus. Walsh a reçu des menaces de mort, preuve de la tolérance à la contradiction de la gauche mentale.

Loin de stigmatiser les personnes souffrant réellement de dysphorie du genre, What is a woman? est un documentaire qui fait, somme toute, froid dans le dos. Un documentaire angoissant sur l’étendue de l’emprise totalitaire de l’élite mondiale pseudo-scientifique et du totalitarisme progressiste. Walsh excelle sur la forme et délivre un message terrible sur le fond. Avec un souci de vérité et de défense des personnes fragiles, des femmes et surtout des enfants, il dénonce la normativité des constructions dites « sociales » par rapport à la normativité biologique naturelle. Là, une autre question qui surgit : la vérité, le réel sont-ils transphobes ?

Vos commentaires

18 commentaires

  1. A d’autres époques et dans d’autres lieux on a rempli quantité d’hôpitaux psychiatriques pour bien moins que de telles folies. Les plus atteints sur le sujet devraient être reformatés s’ils sont récupérables, ou internés s’ils ne le sont pas car, bien plus qu’une drogue qui ne concerne que le consommateur et son corps, eux ont un pouvoir de nuisance au-delà de leur personne, sur les esprits, sur leur entourage et sur la société.

  2. Les bien pensants nous racontent leurs craintes diverses et variées, quant à la ´´ Planète ´ que nous allons laisser à nos enfants, montrant du doigt notre ´´ responsabilité ´´ dans le réchauffement climatique et la dégradation de ladite planète. À la lecture de cet article pertinent et intéressant, je pose la question suivante : quels enfants allons-nous laisser à la Planète ? Car il y en a qui visiblement, montrent une surchauffe non climatique mais inquiétante au niveau de leurs neurones.

  3. La stupidité humaine est sans limite quand elle se mêle d’idéologie. On pourrait évoquer le simple bon sens, mais il y a longtemps qu’il n’a plus cours et tout cela ne mérite que notre mépris et notre refus définitif.

    • « La stupidité humaine est sans limite quand elle se mêle d’idéologie. » Disons plutôt que l’idéologie ne peut se développer que sur un terreau de stupidité, car une simple réflexion suffit à la désintégrer. Mais il est plus facile de se laisser porter par le courant, en compagnie des chiens crevés, que de le remonter à la nage. C’est la cause principale du succès de toute idéologie.

  4. L’article décrit l’imposture du workisme aux E.U . Mais en France trouvez normal qu’une minorité de 4,5% (LGBT et racisme anti blancs) impose sa loi à l’encontre de l’immense majorité de notre pays ?

  5. Une nouvelle preuve de la tolérance de ces progressistes autoproclamés, ces prétentieux qui portent une atteinte grave à la nature et donc à l’écologie. Et un des paradoxes est là aussi : les islamos gôôôôôôôchos bobos écolos sont favorables à ces manipulations, ces trafics, ces mutilations d corps humains alors qu’ils prétendent défendre et vouloir protéger la nature …. Il me semble qu’on devrait plutôt investir d’urgence dans la greffe de cerveaux …

  6. Femme : être humain pourvu de chromosomes XX. En principe l’utérus, les ovaires et les seins vont avec. Le reste n’est que déni de réalité schizophrénique. Une « femme avec un pénis » est aussi probable qu’un oiseau avec des écailles.

  7. Il y a des hermaphrodites (rares mais évidemment en souffrance ) et il y a les adolescents angoissés que l’on influence ….mais physiologiquement les êtres humains ont des chromosomes XX (femme) ou XY (hommes ) .Il existe quelques aberrations chromosomiques XXX ou XYY mais elles sont très rares et ne jouent pas forcément sur l’impression identitaire .

  8. En cette période d’élections législatives, que deviendrait le principe de la parité du « couple » élu/ suppléant si l’un d’eux décidait de changer de sexe en cours de mandat? Même question si l’un d’eux venait à s’identifier comme un loup (ou autre bestiole, voire un végétal ou un objet du quotidien) comme l’évoque l’auteur de cet article ?
    Étonnamment, on ne se pose guère ce genre de question dans les pays où l’on crève de faim et de misère…

  9. Cette société devient invivable ! Mais le réveil sera douloureux le jour où la réalité leur explosera en pleine figure avec la révolte de ceux qu’ils auront fabriqués

  10. Qu’est-ce qu’une femme ?
    Le contraire d’un homme ou, dernière trouvaille outre manche : Une personne avec une vulve !!
    Comme quoi la connerie n’a pas fini de faire tourner en rond les abrutis, pour rester poli.
    Plus sérieusement si les médias arrêtaient de faire de la pub aux LGBTQ, dont l’immense majorité vit tranquille dans l’anonymat et bien nous n’aurions pas à lire et entendre toutes les conneries débitées par des illuminés dégenrés … du genre.

  11. Une transition génère 1,3 million de dollars à Big pharma…on comprend pourquoi il y a tant de publicités, y compris dans les établissements scolaires, pour inciter les jeunes voire les enfants à entreprendre un changement de sexe. Détruire la vie de personnes faibles, de jeunes en construction pour de l’argent est ignoble mais pas surprenant quand on voit ce qui se passe avec de soi disants vaccins dont les résultats sont non confirmés autrement que par les labos qui les produisent .

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